Enquête de Radio-Canada sur les pensionnats autochtones, un regard biaisé ?

 Le réseau d'État woke Radio-Canada,  va nous soumettre les découvertes faites par sa journaliste d'Enquête Marie-Maude Denis concernant la disparition d'enfants autochtones au Québec.

Ma question : est-ce une journaliste mariée ou conjointe d'un autochtone peut avoir un regard neutre sur des faits concernant des autochtones ? 

Si vous ne le saviez pas, Stanley Vollant, un innue est son nouveau conjoint.

La preuve :

Peu importe la décision que la Cour suprême rendra demain, Marie-Maude Denis aura un souper à préparer pour son petit bonhomme. « Ça replace les choses, confie-t-elle. Mais c’est sûr que si c’est favorable, il y aura un scotch après. » Et non loin d’elle, il y aura son nouvel amoureux, le docteur Stanley Vollant, pour lequel elle a appris à dire « je t’aime » en langue innue.

https://www.lapresse.ca/actualites/2019-09-26/source-lumineuse

Commentaires

P.A. Beaulieu a dit…
J'ai travaillé trois années en milieu Innu (Montagnais), moi aussi je sais dire "Je t'aime" : "Shtuelemeten".

Cet article va aussi vous intéresser. J'ai ajouté un commentaire, mais il a été censuré, tôt ce matin.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1939514/montreal-itinerance-inuit-femmes-colonisation-violence

Mon commentaire?

"La racine du problème pousse dans le Grand Nord. Qu'est-ce qui est fait là-bas pour le guérir à la source?

Le mode de vie inuit était loin d'être paradisiaque, avant l'arrivée des Krablunaks (hommes Blancs, pour ceux et celles qui ne savent pas) : les aînés incapables de contribuer à la survie de la bande étaient abandonnés dans la toundra, et des bébés de sexe féminin étaient tués, parce que la priorité était de faire grandir un maximum de chasseurs, pour la survie du groupe. Cela veut dire que la minorité de femmes qui subsistait était partagée sexuellement par la majorité d'hommes. Les personnes qui doutent de ce que je mentionne ici peuvent consulter des ouvrages sur le sujet, notamment "Inuk : au dos de la terre", par le père oblat Roger Buliard, ou bien "Nunaga", par Duncan Pryde.

Ces réalités du passé, heureusement disparues, semblent ignorées, de nos jours, par plusieurs idéalistes, qui démonisent tout ce que les gens du Sud ont amené, sans s'arrêter une fraction de seconde à des réalités passées inacceptables, mais nécessaires pour la survie du groupe, dans le contexte d'antan, pour survivre."

Tout ce que je mentionne plus haut est véridique, mais bien des idéalistes ne veulent pas le reconnaître.
Des informations comme les vôtres qui mériteraient d'être partagés avec d'autres médias. Malheureusement, dès qu'il s'agit des autochtones ou esquimaux, leurs cheveux leurs dressent sur la tête comme des porc-épic.
J'ai lu en cliquant sur le lien l'article au complet et les nombreux commentaires.
Dommage que le vôtre n'y apparaît pas.
P.A. Beaulieu a dit…
Dans son livre, le père oblat Roger Buliard dit que sa plus grande fierté est de savoir que grâce à son assistance et celle de l'Église, des vieux inuit ont pu vivre en paix et mourir de leur belle mort, au lieu d'être abandonnés à eux-mêmes dans la toundra, et on parle ici des années 30 et 40, donc pas si loin que ça, dans le passé. Ces communautés n'étaient pas encore transformées, en tout cas pas au point où elles l'ont été à partir du moment où la présence blanche dans le Nord s'est intensifiée, via les lignes de radars DEW, Mid Canada et Pinetree.

Parlant d'abandons, plusieurs inuits et autochtones qui se ramassent dans la rue à Montréal y sont parce qu'ils ont été jetés dehors de leur communauté et qu'on ne veut plus les y revoir, les gens de la localité préférant pelleter le problème ailleurs. Ce n'est pas seulement le cas à Montréal. Allez faire un tour dans un endroit comme Winnipeg et c'est pire encore! Bien sûr, les médias ne traitent pas ouvertement de cet aspect de la problématique...

Je suis athée, je pourrais bien garrocher de la bouette sur l'Église catholique, parce que des abus, il y en a eu, il ne faut pas se le cacher, et cela est inacceptable. Cependant, il y a aussi des religieux et des religieuses qui ont réalisé un travail extraordinaire pour aider des gens, pas seulement dans des communautés inuites et indiennes, et ceux-là ne méritent pas de se faire démolir comme c'est malheureusement le cas.

La personne de Radio-Canada qui a censuré mes deux commentaires portant sur les Inuit est peut-être convaincue que je rapporte des mensonges, mais il se peut aussi très bien qu'elle soit simplement hypocrite : la présence de femmes inuites alcooliques et toxicomanes dans les rues de Montréal est un moyen de plus pour obtenir du financement public pour des organismes communautaires. Cela est dans la même lignée que le "scandale" impliquant des agents de la SQ qui auraient abusé sexuellement de prostituées autochtones à Val D'Or, il y a quelques années (d'ailleurs, on n'entend plus du tout parler de cette histoire...)

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