Le déclin de la langue

Nos chroniqueurs, analystes  et autres politiciens se plaignent, avec amertume, du déclin de la langue française.
Plusieurs d'entres-eux ont signés de courts textes dans les journaux de Québecor : Steve Fortin, Maka Koto, Sophie Durocher et Denise Bombardier.
Mais, aucun d'entres ces gentils messieurs dames n'osent remonter à la source du problème.

Jeter le bébé avec l'eau du bain
Avant la Révolution dite Tranquille, qui étaient les gardiens de la langue française au Québec et dans le ROC ? La réponse est : les curés, les prêtres et l'Église catholique.
Et depuis qu'on a laissé des athées infiltrés nos institutions civiles, par exemple l'Éducation ou encore la Société St-Jean-Baptiste, la langue perd du terrain.

Le féminisme d'État frappe fort
La légalisation des avortements a eue comme effet pervers d'obliger les gouvernements du Québec d'avoir recours à l'immigration pour remplacer en partie les 25 000 enfants à naître qui n'ont pas eut la chance, comme pour leurs parents assassins, de naître. À chaque année se sont plus ou moins 25 000 enfants à naître qu'on assassinent soit par injections létales ou par démantèlements.
Est-ce que tous ces immigrants utilisent à tous les jours la langue française à la maison et au travail ?
La réponse est NON.
Les chialeuses n'ont qu'à bien se tenir !

Réveillez-vous
Dommage qu'il s'en trouve encore et encore à écrire des petites phrases assassinent contre l'Église catholique.

***
À toutes celles qui dénoncent anonymement : "Le respect se donne aux personnes qui le méritent et non à celles qui le demandent» Source : lesbeauxproverbes.com . Le respect se mérite

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