Le rapport Laurent et la DPJ, biaisé et sexiste

 Encore un rapport qui nie le problème des conjointes violentes.

Pour les commissaires, les hommes victimes de violences conjugales ca n'existerait pas !

Seules les femmes et leurs enfants sont victimes.

Rien en ressources comme des maisons d'hébergements pour les hommes victimes et leurs enfants.

Le rapport Laurent et la  DPJ biaisé et sexiste

Voici le lien pour lire ce rapport.

https://www.csdepj.gouv.qc.ca/fileadmin/Fichiers_clients/Rapport_final_3_mai_2021/2021_CSDEPJ_Rapport_version_finale_numerique.pdf

Ceux et celles qui savent comment fonctionne le bouton F3  du clavier d'ordinateur, il est temps de l'utiliser.

Les mots clés à écrire dans la case : " père "  " homme "

Si vous trouvez quelques choses concernant les pères ou les hommes victimes de violences conjugales, veuillez me le signaler.

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Sur le même sujet :

https://chialeuses.blogspot.com/2021/03/violence-conjugale-presumes-coupables.html

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Mise-à-jour

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VALÉRIE GONTHIER
Jeudi, 22 avril 2021 01:00MISE À JOUR Jeudi, 22 avril 2021 01:00

Doit-on remettre un enfant à sa mère qui est en attente de procès pour avoir tenté de le tuer ? Telle est la délicate question que devra trancher le Tribunal de la jeunesse aujourd’hui à Montréal.

Un juge de la cour spécialisée fera alors savoir s’il avalise la recommandation de la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ).

Les faits reprochés remontent à avril 2019. Lors d’une chicane, la mère aurait tenté d’étrangler son bébé de deux mois en passant une ceinture de robe de chambre autour de son cou.

Valérie Gonthier :
"-Lorsque la mère s’en serait prise à l’enfant, plutôt que d’appeler la police, le conjoint de l’accusée aurait enregistré l’audio de la scène avec son téléphone. 

https://www.journaldemontreal.com/2021/04/22/une-mere-pourrait-ravoir-la-garde-du-fils-quelle-aurait-tente-de-tuer

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Réflexions
Si ca avait été un homme, on aurait ajouté les pires qualificatifs comme par exemple un père violent, un père meurtrier mais lorsqu'il s'agit d'une mère violente, les journalistes sont pitoyablement délicats !

Lorsque la mère s’en serait prise à l’enfant, plutôt que d’appeler la police, le conjoint de l’accusée aurait enregistré l’audio de la scène avec son téléphone. 

La journaliste n'a pas pensé que s'il avait appelé la police sans cette preuve enregistrée sur son téléphone, c'est lui qui aurait été arrêté, conduit au poste de police et interrogé pendant des heures ?


Commentaires

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