Profiter de la crise pour enlever des droits aux hommes

 Qui n'a pas osé écrire ceci  "N'oubliez jamais qu'il suffira d'une crise politique, économique ou sanitaire pour que les droits des hommes soient remis en question ? Simone de Beauvoir !

La nouvelle loi sur le divorce (Ottawa) et toutes les lois pour contrer les dites violences conjugales incluant le projet de loi 84 du Québec, visent uniquement à enlever des droits aux hommes.

Le Devoir :

Le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) aura droit à 44 millions de dollars supplémentaires pour appliquer le principe de « poursuite verticale » dans les dossiers de violence conjugale ou sexuelle, et ainsi donner l’assurance aux plaignantes qu’elles seront accompagnées du début à la fin du processus judiciaire par un seul et même procureur, une façon de faire susceptible de les rassurer et de créer un lien de confiance avec leur avocat.

Rien pour aider les hommes victimes de violences conjugales

De plus, les procureurs devront s’assurer de bien préparer les plaignantes à ce qui les attend, en les informant des étapes à venir et du fonctionnement de la cour. Elles devront également être mieux informées de leurs droits.

Pas un sous pour accompagner ou préparer les hommes accusés ou faussement accusés de violences conjugales

Par ailleurs, Québec injectera 27 millions de dollars au cours des cinq prochaines années pour embaucher davantage de policiers spécialisés dans des causes de violence conjugale au sein des corps de police et des services correctionnels.

Québec veut aussi resserrer l’étape de l’évaluation des hommes accusés de violence conjugale au stade de la mise en liberté provisoire, un service qui sera étendu à tout le territoire.

Resserrer l'étape de l'évaluation comme dans l'affaire Lapointe ?

Extrait du blogue d'Olivier Kaestlé : 

Le fait de devoir composer avec une célébrité a pu contribuer à plus de rigueur de la part de la SQ, mais rien n’indique qu’Annie Pineault, l’enquêteuse chargée du dossier, n’aurait pas fait son travail correctement malgré cela.

Lorsque celle-ci arrive à l’appartement de l’accusatrice, à Lachute, dans les Laurentides, une scène digne d’un film de Tarantino l’attend.  La policière détaillera plus tard au juge Chevalier : « Madame saigne, il y a beaucoup de sang sur son chandail.  Elle est coupée au nez, au visage.  Elle dit avoir été victime du chanteur Éric Lapointe.  Il y a des signes de bagarre dans le logement.  Il y a du verre cassé par terre, les tiroirs de cuisine sont vidés de leurs affaires.  Une lampe est renversée, et il y a du sang sur l’abat-jour. (…)  Lapointe aurait surgi pendant qu’elle chattait.  Il l’aurait tirée par les cheveux, l’aurait accotée contre le mur et l’aurait frappée avec ses bagues, puis il l’aurait frappée avec une lampe et aurait même cherché un couteau, qu’il n’a pas trouvé car elle les met hors de portée de son jeune fils. »


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