Les accusations d'agressions sexuelles ; un tremplin pour une promotion ?
J'écrivais, il y a quelques années de ça sur d'autres plateformes, que pour remplacer un collègue elles leurs suffiraient de le faire accuser d'une agression sexuelle. Peut importe que ces accusations soient vraies ou fausses. Puisque les fausses accusations n'ont aucune conséquence, tant les lois canadiennes et québécoises sont misandres ; les plaignantes ne risquent rien.
Ceci étant dit je vous soumets deux cas de femmes qui ont remplacées des hommes faisant suite ou à cause d'allégations d'agressions ou d'inconduites sexuelles.
Deux cas qui se ressemble un peu beaucoup ou une simple coïncidence ?
1- La brigadière-générale Krista Brodie remplace le major-général Dany Fortin, accusé d'agression sexuelle.
-Je me bats contre un ennemi invisible, a déclaré Dany Fortin.
L’accusé a déclaré aux journalistes qu'il ne connaissait pas les détails de l'allégation retenue contre lui – malgré les demandes répétées de son équipe juridique –, sinon que l’événement se serait déroulé en 1988. -Radio-Canada
La nomination de Brenda Lucki survient alors que les révélations embarrassantes se multiplient sur l'inconduite sexuelle et le sexisme dans les rangs de la GRC, un an après que le commissaire Bob Paulson eut présenté ses excuses pour la discrimination contre les policières et convenu d'une entente à l'amiable de 100 millions de dollars dans deux actions collectives. -Radio-Canada
La remplaçante de Bob Paulson, qui a pris sa retraite en juin dernier, a été choisie par un comité de sélection indépendant et non partisan formé de six femmes et trois hommes et dirigé par l'ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick Frank McKenna. -Radio-Canada
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