La Corriveau : le croassement des corneilles
La Corriveau : Le croassement des corneilles
Si on les laissent faire, les sinistres féministes vont réussir à faire canoniser la criminelle Marie-Josephte Corriveau dite La Corriveau.
La Corriveau n'était pas une enfant de chœur. Elle a été condamnée par une cour martiale en 1763 pour avoir assassinée son mari pendant son sommeil et tenter de faire porter le blâme sur les autres, c'est-à-dire sur les chevaux. Sa raison pour tuer son époux ? Elle a déclarée que Dodier l'a maltraitait ; exactement ce que font jouer aujourd'hui les cassettes féministes pour avoir de l'argent ou s'en sauver avec des peines ridicules.
Ceci étant dit, La Corriveau a avouée avoir assassinée son conjoint. Sa sentence a été horrible; crever de faim dans une cage de métal à la vue du public.
Afin de ne pas vous laissez enfumer par les sinistres féministes, je vous suggère de lire le résumé de Luc Lacoursière et ensuite Les papiers de La Corriveau sur BanQ
Le triple destin de Marie-Josephte Corriveau (1733-1763)
Document concernant La Corriveau
Catégories : Actualités, Éducation, Égalité, Immigration, Misandrie, Politique Canadienne, Politique Internationale, Politique Québécoise, Racisme, Religion, Santé, Wokisme
Commentaires
Le même document ratifiait aussi les sentences prononcées contre quatre
autres accusés devant la cour martiale: le soldat Elias Wolfe, condamné à mort pour
vol, jacob Ritter et Godfrey Eighorn, aussi comdamnés à mort pour vol, mais dont
la sentence est commuée, Margaret Cook acquittée de recel, faute de preuve.