Les dictatures oubliées de Denise Bombardier

Denise Bombardier a la mémoire sélective
Regardez bien la capture d'écran :


Le 11 mars elle se demande : Pourquoi autant d'anti-américanisme

Elle écrit : En Occident, on ne s’est jamais retenu de cracher sur les États-Unis et sur sa politique impérialiste.

Vous avez bien lu : cracher sur les États-Unis et sur sa politique impérialiste.

En politique internationale cela veut dire : 
L’impérialisme désigne un processus de contrôle ou de domination d’une entité sur d’autres populations ou territoires. Il est lié à la notion d’Empire, forme d’organisation politique née dans l’Antiquité. https://www.vie-publique.fr/fiches/269849-quest-ce-que-limperialisme-relations-internationales

Quelques exemples de politiques impérialistes :

Le renversement du président chilien Allende démocratiquement élu pour le remplacer par un dictateur du nom d'Augusto Pinochet.

Haïti des Duvalier ? Bastista de Cuba ? Le régime des colonels en Grèce ou ceux du BrésilEt la dictature en Corée du Sud oubliée  ?


Les États-Unis n'ont pas d'amis ni d'alliés que des vasseaux 
Extrait de La Maison-Blanche face à des dictatures amies en péril: dictateurs dans la tempête
Les États-Unis n’ont jamais hésité à entretenir des relations amicales avec des dictateurs qui, pourtant, contreviennent au modèle démocratique qu’ils tentent – officiellement – de propager.

Victor A. Béliveau tente de comprendre pourquoi la Maison-Blanche décide brusquement d’interrompre une relation de ce type.

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L'article du 13 et du 14 mars 2023 sont du même ordre : que du babillage pour faire diversion.

À propos du prêt-bail

Selon Wikipedia :

Le programme Lend-Lease (« Prêt-Bail » en français) était un programme d'armement mis en place par les États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale, afin de fournir aux pays amis du matériel de guerre sans intervenir directement dans le conflit (avant l'entrée en guerre des États-Unis), mettant fin de facto aux lois des années 1930 sur la neutralité.

La loi Lend-Lease, votée par 317 voix pour et 71 contre à la chambre des représentants des États-Unis et par 60 voix pour et 31 contre au Sénat, signée le , autorise le Président des États-Unis à « vendre, céder, échanger, louer, ou doter par d'autres moyens » tout matériel de défense à tout gouvernement « dont le Président estime la défense vitale à la défense des États-Unis. »

De 1941 à 1945, les aides américaines se sont élevées à 50,1 milliards de dollars américains. Les principaux bénéficiaires du prêt-bail étaient le Royaume-Uni (31,4 milliards de dollars) et l'Union soviétique (11,3 milliards de dollars). La France libre du général de Gaulle basée à Londres et surtout l'armée d'Afrique du général Henri Giraud basé à Alger (Algérie française) ont également profité de ce programme d'assistance logistique (3,2 milliards de dollars).

Il y eut malgré tout un prix à payer. Les autorités américaines dépossédèrent la Grande-Bretagne de ses réserves d'or et de ses investissements outre-mer. Elles restreignirent ses exportations, et les hommes d'affaires américains s'emparèrent de marchés qui jusque-là étaient britanniques.

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