Quand Mémé règle la crise de l'itinérance à Montréal

Une très vieille dame attablée dans le resto près de chez-nous et qui parlait assez fort pour qu'on puisse l'entendre, avait, disait-elle, la solution pour régler la crise de l'Itinérance à Montréal.

En gros ou en résumé il suffirait de cesser de leurs fournir nourritures et autres accommodements, prenant en  exemple l'interdiction de nourrir les animaux de la faune à Montréal.

Extrait : 
Il est strictement interdit de nourrir les animaux à Montréal.
Cette action est passible d’une amende minimale de 300 $, car elle constitue une infraction au Règlement sur l’encadrement des animaux domestiques de la Ville de Montréal.

Ce geste a de multiples conséquences pour l’animal comme : 

-Favoriser leur surpopulation.
 
-Entraîner un retard dans la migration et donc provoquer un établissement local.

-Augmenter la présence d’excréments sur les terrains.

-Engendrer la destruction de la pelouse et des plantes environnantes.
 
-Nuire à la santé de l’animal en entraînant des problèmes de santé majeurs, qui peuvent même aller jusqu’à l’empêcher de se déplacer.
 
Lors de votre prochaine visite au parc, pensez aux conséquences qu’ont vos gestes sur la faune et la flore.

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