L"industrie très payante du génocide autochtone (1)

 Traduction par Google

Le mensonge du génocide

Par BRIAN GIESBRECHT
1 MARS 2023, 8 H 40




Le cas de Jim McMurtry est maintenant bien connu des Canadiens. C'est l'enseignant d'Abbotsford qui a dit la vérité à sa classe au sujet de l'affirmation selon laquelle 215 élèves autochtones avaient été tués et secrètement enterrés au pensionnat indien de Kamloops - et a été renvoyé pour cela .

Il a déclaré que tous les élèves décédés à l'école avaient probablement succombé à des causes naturelles, principalement la tuberculose. Les étudiants qui avaient entendu des histoires folles sur des enfants torturés par des prêtres et laissés mourir dans la neige étaient indignés. Ils se sont plaints et McMurtry a été rapidement escorté hors de la salle de classe en disgrâce, mis en congé indéfini, puis licencié.

Des écrivains éminents tels que Conrad Black et Barbara Kay ont déjà commenté en détail l'injustice scandaleuse d'un enseignant licencié pour avoir dit la vérité. Je suis d'accord avec eux et n'ai rien d'utile à ajouter à cet égard.

Cependant, il y a un événement qui a largement échappé aux commentaires et qui est très pertinent pour l'affaire. C'est la motion parlementaire adoptée à l'unanimité le 27 octobre 2022, assimilant les pensionnats à un génocide.

Le fondement de cette motion était la réclamation de Kamloops (et les réclamations ultérieures imitées) d'environ 215 morts sinistres et enterrements secrets. Le "crime" de McMurtry a été de refuser d'accepter ces affirmations comme des faits. L'adoption par le Parlement de la motion sur le génocide a implicitement donné au conseil scolaire qui a renvoyé McMurtry la permission de le faire. Cela a envoyé un signal clair que la revendication de génocide doit être acceptée sans aucun doute. La motion a été adoptée sans étude ni débat.

La motion sur le génocide du Parlement donne également aux auteurs internationaux de violations des droits de l'homme, comme la Chine communiste, une défense parfaite contre toute critique légitime que nous pourrions faire au sujet de leur traitement atroce des Ouïghours ou des Tibétains. C'est une diffamation sanglante contre chaque soldat canadien qui s'est battu pour défendre notre liberté, chaque personnage historique canadien important et tous nos ancêtres. Il les déclare tous complices du génocide.

Mais cela souille également chaque député et premier ministre qui les a précédés avec l'étiquette de « génocide ». Pensez-y : Sir Wilfred Laurier, Lester Pearson, Brian Mulroney, Jean Chrétien—tous accusés de complicité de génocide.

Donc, avec tout cela, peut-être devrions-nous jeter un œil à ce que Jim McMurtry a réellement dit à ses étudiants. Il a déclaré que les élèves décédés à l'école étaient principalement morts de maladies, probablement de tuberculose. Une vérification rapide des certificats de décès sur la liste du Centre national pour la vérité et la réconciliation des 51 enfants décédés à l'école (disponible en ligne) prouve exactement cela. Ils sont morts de maladie, quelques-uns à la suite d'accidents ; certains sont morts à la maison et d'autres sont morts à l'hôpital. Voici un exemple : « 48. Theophile Dick Billy (1941/4/22)d Royal Inland Hospital, Kamloops, DIA Enquête tenue.

Il n'y a pas de mystère là-bas, ni avec aucun des 50 autres décès tristes. La plupart ont été enterrés dans leurs réserves d'origine. Dans tous les cas, leur décès a été correctement enregistré et ils auraient reçu des funérailles catholiques appropriées, en présence de la famille. Dans le cas de Théophile, une enquête a été menée sur sa mort.

Il n'y a aucune preuve crédible qu'un élève du pensionnat soit mort dans des circonstances sinistres, ait disparu et n'ait jamais été retrouvé, ou ait été enterré secrètement. Nous savons où ils sont enterrés. Et il n'y a aucune preuve crédible que quelqu'un soit enterré dans le « verger de pommiers » de l'école de Kamloops – et surtout aucune preuve crédible que des élèves des pensionnats aient été enterrés tard dans la nuit avec l'aide forcée d'enfants de 6 ans. Le fait que de nombreuses personnes reposent dans des tombes non entretenues qui sont devenues « anonymes » avec le temps n'est la faute de personne.

Les enfants qui sont morts venaient de réserves où les taux de mortalité par tuberculose étaient scandaleusement élevés. Leur mort n'a pas été causée par les pensionnats. Comme l'a dit le Dr Peter Bryce, médecin légiste en chef à l'époque, les enfants sont arrivés dans les écoles déjà infectés, où ils ont infecté d'autres. Si les pensionnats n'avaient jamais été construits, ils seraient quand même morts.

En bref, il n'y a aucune preuve crédible qu'il y ait eu quoi que ce soit de sinistre dans l'un des 51 décès ou l'un des 51 enterrements.

Ainsi, Jim McMurtry a dit la vérité à ses étudiants. Les enfants indigènes n'étaient pas torturés par des prêtres et laissés mourir dans la neige. Ils sont morts de causes naturelles et ont reçu des sépultures appropriées. Le message implicite du Parlement au conseil scolaire de McMurtry était de forcer les enseignants à ignorer la vérité et à enseigner des bêtises.

Mais certains de nos « dirigeants » ne se contentent pas de l'énorme motion sur le génocide et veulent aller encore plus loin. Ils veulent même empêcher la publication d'articles comme celui que vous lisez actuellement. La députée Leah Gazan, avec l'approbation du ministre des Affaires autochtones Marc Miller, veut une législation qui criminalise toute remise en question des histoires d'inhumation secrètes, la qualifiant de "déni".

Le Parlement doit reconsidérer. Ils ont fait une grave erreur. À tout le moins, des preuves doivent être présentées et les allégations de meurtre et d'enterrements secrets dans les pensionnats doivent être examinées en profondeur.

C'était une tentative ratée d'éducation, pas un génocide.

Cet article a été initialement publié dans The Epoch Times. Il a été republié avec la permission de l'auteur. L'article original peut être trouvé ici : https://www.theepochtimes.com/brian-giesbrecht-the-genocide-lie_5088892.html