Amber Heard a perdu; les féministes de Metoo enragent
Les féministes de MeToo sont en beau joualvert.
Mêmes les féministes du canada et du québec.
Extrait du site E&R :
Pour les menteuses féministes, Amber ne pouvait pas perdre, tout simplement parce qu’elle est une femme, c’est-à-dire forcément victime, forcément gentille, forcément souffrante, forcément honnête. Hélas, n’importe quel morphopsychologue ou personne un peu à l’écoute de l’humain peut voir le masque de vice sur le visage de cette médiocre actrice, à la fois sur écran et dans la vie. Et encore plus dans le prétoire. Eh bien malgré toutes les évidences, les propagandistes du MeToo français ont pris fait et cause pour la pleurnicharde, prouvant en cela que la vérité ou l’authenticité étaient secondaires.
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Commentaires
Cet animateur radiophonique de la CBC a vu sa carrière détruite, même s'il a été prouvé lors du procès que les cinq femmes qui l'accusaient de viols ont menti.
Gomeshi a fourni à la cour des preuves (courriels) que ces femmes ont continué à communiquer avec lui pour le revoir après les dates alléguées où se seraient produits des viols.
Jamais je n'excuserais le moindre violeur dans un contexte où il est clair qu'il y a eu abus, mais comme le dicte le plus vieux code de loi connu, celui d'Amurabi, lorsqu'il est prouvé qu'une personne a menti en en accusant une autre d'un crime, elle doit subir un châtiment équivalent à celui que la personne accusée faussement du crime aurait subi si elle avait été reconnue coupable.
L'affaire Gomesshi a été suivie par plusieurs blogueurs dont le Prof Solitaire et Olivier Kaestlé.
Le chroniqueur Richard Martineau en avait fait plusieurs articles sur le sujet.
Malheureusement le code d'Amurabi n'est pas appliqué ici en Canada ou si peu. Les accusatrices s'en tirent avec une petite tape sur les doigts.