De la Covid aux boules d'Hélène
Il y a au moins un endroit au Québec où l'on ne parle pas beaucoup de la Covid ces jours-ci, c'est à l'UQAM, la raison : les boules d'Hélène.
Vous avez sans doute entendu parler de cette jeune finissante de l'UQAM qui a publiée une photo toge de graduation levée montrant ses seins.
Rien de bien tétonnant à cet endroit, car à l' UQAM, ce nid de gauchistes et de wokistes, tout est possible, même les pires excès.
Dans l'article (copiez le lien ci-dessous) en plus de voir la photo originale qui aurait faite scandale, semble-t-il, l'auteuse parle aussi de patriarcat et de "putophobie".
Putophobie comme dans avoir la phobie des putes ? C'est à se demander si l' UQAM est une usine à fabriquer des putes ou une vraie université !
Avertissement :
Ce qui suit est proposé tel qu’il a été originellement créé et peut contenir des représentations sociales et culturelles d’aujourd’hui. 😏
En vertu de l’entente survenue mercredi, Mme Boudreau devra s’abstenir indéfiniment de publier des photos intimes comportant le logo de l’UQAM. L’Université a pour sa part renoncé au montant de 125 000$ qu’elle lui réclamait pour atteinte à sa réputation.
Malgré l’entente, l’étudiante se dit encore «choquée» par la décision de l’Université de lancer des procédures judiciaires contre elle.
«Ç’a été beaucoup d’attention médiatique», a-t-elle confié.
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Hélène Boudreau a un compte OnlyFans, une plateforme où elle publie des photos sexy d’elle, accessibles moyennant paiement.
«Le travail du sexe est un travail respectable. Les sex workers sont aussi parfois des étudiant-es et des diplômé-es de l’UQAM, peut-être de futur-es professeur-es, écrivain-es, biologistes, avocat-es. Ce sont des personnes brillantes et sensibles, dignes», a-t-elle écrit dans une publication Instagram.
Source : https://www.24heures.ca/2021/04/07/photos-osees-luqam-dit-setre-entendue-hors-cour-avec-letudiante-helene-boudreau#cxrecs_s
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