Guerre culturelle woke, #metoo, Hitler et le reste
Ne croyez-vous pas qu’une femme a le «droit» de «retirer son consentement» après avoir eu un rapport sexuel consensuel ?
Cette question résume assez bien tout le phénomène #metoo et celui du wokisme. Consentir et après accuser l'élu d'un soir pour lui soutirer de l'argent ....
Extrait :
Bienvenue dans l’ère de la guerre culturelle
En Amérique, où ces phénomènes arrivent à maturité, on parle de guerre culturelle. Il est devenu évident qu’il n’y a plus de base de dialogue avec ceux qui vous considèrent comme étant «littéralement un Hitler» parce que vous n’êtes pas d’accord avec eux.
Vous ne pensez pas qu’un athlète masculin avec du rouge à lèvres et une permanente peut se déclarer femme et entrer en compétition (déloyale) avec des athlètes féminines aux chromosomes XX ? Vous êtes un transphobe, littéralement un nouvel Hitler.
Pensez-vous qu’il est normal d’avoir des températures estivales en juillet ? Vous êtes un négateur du réchauffement climatique, donc littéralement un nouvel Hitler.
Ne croyez-vous pas qu’une femme a le «droit» de «retirer son consentement» après avoir eu un rapport sexuel consensuel ? Vous êtes un sexiste, littéralement un Hitler.
Et ce qui lie cette centaine de déclarations (très incomplètes) n’est pas la proximité («littéralement Hitler») mais la prémisse: le déni d’une réalité matérielle et empiriquement vérifiable. Si le parti vous dit que 2 et 2 font 5, vous devez dire que cela fait 5.
Le subjectivisme est en fait la base du wokisme, l’épine dorsale de l’appareil idéologique de la gauche occidentale mondialisée. La perception compte plus que les faits et leur perception à eux les wokistes compte plus que la vôtre, car ils ont toujours plus de raisons d’être entendus que vous, qui n’êtes qu’un banal et méprisable quidam.
De cet état de fait, l’amère constatation : il n’y a plus de possibilité de dialogue avec ceux qui vous pointent du doigt et vous crient au visage «c’est vous le violeur» simplement parce que vous êtes né mâle et hétérosexuel. Trop c’est trop, et malgré tout, il faut déterrer la hache de guerre.
Lire tout l'article : https://reseauinternational.net/il-faut-se-rendre-a-levidence-la-guerre-culturelle-du-wokisme-a-eclate/
Commentaires
Aussi, concernant le consentement, je vous suggère de jeter un coup d'oeil dans le passé, quand le blogueur américain Roosh V s'est prononcé publiquement en disant quelque chose comme : "Si on éliminait la possibilité de se plaindre d'un viol dans un endroit privé, la situation serait différente."
Le gars s'est fait démolir, même ici au Québec (il était venu à Montréal pour tenir une conférence.) Ce que Roosh V voulait dire, au fond, ce n'est pas qu'on doit interdire la possibilité de porter plainte en cas de viol dans des lieux privés, mais plutôt que les femmes doivent se responsabiliser davantage, quant aux hommes qu'elles acceptent dans leur entourage et ce qu'elles posent comme gestes avec eux. Roosh V comparait la situation de femmes qui se plaignent d'avoir été violées après avoir eu un comportement entièrement irresponsable à celui d'une personne qui laisse les portières de sa voiture débarrées et les clés dans le contact dans un quartier louche, pour se plaindre ensuite que leur voiture a été volée.
Oui, on doit sévèrement punir les hommes qui violent des femmes, mais il faut aussi que les femmes se responsabilisent. J'encourage d'ailleurs toutes les femmes de mon entourage à suivre des cours d'arts martiaux pour qu'elles soient en mesure de se défendre, en cas d'agression. Idem pour ce qui est de faire preuve de prudence lors de sorties, pour éviter d'être victime de la "drogue du viol".
Curieusement, je n'ai jamais, je dis bien JAMAIS entendu la moindre féministe supportrice du "Me Too" encourager les femmes à agir dans ce sens. Pourquoi donc?