Au Canada, pays de la libre expression, des mots comme nègre est interdit

La libre expression a la vie dure comme une pénétration péno-vaginale.

L'exemple le plus récent indigne de mention, c'est la vidéo de Guillaume Lemay-Thivierge qui se serait filmé parlant de boulo devant un bouleau sur lequel il y était inscrit, semble t-il, le mot en N.

De la guimauve sucrée-salée

Le "N" en question voudrait dire Nègre. Comme dans "Nègres Blancs d'Amérique", comme dans "Comment faire l'amour à un Nègre sans se fatiguer"

Les tites vierges offensées du mois de mai, toujours à l'affut de trouver sur qui chasser, samson données à coeur joie, même si c'était tiré par les cheveux.

Le ressenti d'une personne ayant un vagin

L'autre patente à gosses qui mets les tites-vierges du mois de Mai dans tous les états, c'est l'histoire de la matrice de la juge de la Cour Suprême, qui dans un jugement, a dit ceci : «Lorsqu’une personne ayant un vagin témoigne de manière crédible et avec certitude avoir ressenti une pénétration péno-vaginale, le juge du procès doit pouvoir conclure qu’il est peu probable qu’elle se trompe.»

Au Québec nous avions une expression pour cela : se faire fourrer.

Histoire d'O

D'autres expressions qui font scandaleusement scandales et qui pourraient vous envoyer en prison, ce sont les slogans "Du fleuve à la mer" ou du "Jourdain à la Mer". C'est à cause de ces expressions que depuis presque 100 ans, les sionistes n'hésitent pas à marcher sur les os des palestiniens.

Surtout n'allez pas nier ou négationner la Shoah, alors là, si vous n'êtes pas cru, vous êtes cuit !