Aurait-on voulu cacher l'ingérence étrangère lors du référendum de 1995 ?
Le chef du PQ, Paul St-Pierre Plamondon (PSPP ) a demandé hier au régime Legault de déclassifier la partie du rapport Grenier sur les fraudes électorales par les camps du Non lors du référendum de 1995.
Le chef du Parti québécois, Paul St-Pierre Plamondon
PHOTO : LA PRESSE CANADIENNE / JACQUES BOISSINOT
La Presse canadienne
Publié hier à 14 h 19
Le Parti québécois (PQ) veut savoir ce qui se cache dans les archives de la commission Grenier, qui a enquêté sur le financement du camp du « Non » lors du référendum de 1995, et demande au gouvernement Legault de déclassifier tous les documents qui font encore aujourd'hui l'objet d'une ordonnance de non-publication.
Dans un communiqué publié lundi, Journée nationale des patriotes, le chef de la formation souverainiste, Paul St-Pierre Plamondon, a affirmé avoir obtenu un avis juridique qui confirme que le gouvernement du Québec peut, par simple loi, déclassifier toute l'information obtenue dans le cadre de cette enquête.
Que peut-il bien s'y cacher dans ce rapport pour qu'un juge émette une ordonnance éternelle de non publication ?
Secret d'État ?
L'hypothèse de l'ingérence étrangère des pays de l'OTAN serait la plus plausible.
En particulier l'ingérance étrangère des États-Unis qui auraient pu financer à coups de millions de dollars les différents camps du NON. Ce pays s'imaginait mal a devoir contrôler un pays de plus à leur frontière Nord, en particulier si un Québec indépendant se voudrait neutre ou encore s'il refusait d'adhérer à l'Otan.
Financés par qui ?
Puis il y a les différents comité de Grecs, d'Italiens et de Juifs qui ont tenus une conférence de presse le 24 octobre 1995 pour inviter leurs concitoyens ethniques à voter NON.
Est-ce que la Grèce, l'Italie et Israel auraient financés, chacun de leur côté, la campagne du NON ?
ooo
Le chef du Parti québécois, Paul St-Pierre Plamondon
PHOTO : LA PRESSE CANADIENNE / JACQUES BOISSINOT
La Presse canadienne
Publié hier à 14 h 19
Le Parti québécois (PQ) veut savoir ce qui se cache dans les archives de la commission Grenier, qui a enquêté sur le financement du camp du « Non » lors du référendum de 1995, et demande au gouvernement Legault de déclassifier tous les documents qui font encore aujourd'hui l'objet d'une ordonnance de non-publication.
Dans un communiqué publié lundi, Journée nationale des patriotes, le chef de la formation souverainiste, Paul St-Pierre Plamondon, a affirmé avoir obtenu un avis juridique qui confirme que le gouvernement du Québec peut, par simple loi, déclassifier toute l'information obtenue dans le cadre de cette enquête.
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