Les agressions contre des hommes, les féministes s'en fichent

Changement dans le titre de l'article.

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Féminisme et l'art de ne voir qu'un seul côté de la médaille et d'en minimiser l'autre.

Un article écrit sur nousblogue :

Veuillez noter que mes commentaires sont en rouge

Extraits :
« Oui, c’est vrai que c’est scandaleux que les femmes se fassent agresser, mais les hommes aussi sont victimes d’agressions sexuelles »

Oh my, je l’haïs, celui là. Je te parle d’un sujet, et tu me réponds avec un autre sujet!
(Pourtant le sujet est le même : "victimes d'agressions sexuelles")

Oui, c’est vrai que les hommes et les garçons sont aussi victimes. Oui, c’est vrai qu’ils vivent des enjeux particuliers quand vient le temps de dénoncer et qu’il faut s’en occuper. Mais offrir cette réponse quand on essaie de soulever l’enjeu des agressions envers les femmes, c’est faire dévier le débat. Ça sous-entend que les agressions sexuelles dans notre société, en ce moment, ce n’est pas une affaire de genre.

"Ce n'est pas une affaire de genre" Cette blogueuse de nousblogue devrait lire le site sur les violences féminines : https://www.violencefeminine.com/

Ou encore CriminElles V une compilation d'actes d'agressions par des femmes http://profsolitaire.blogspot.com/2020/03/criminelles-v.html

Oui… mais non! Le cœur du problème, ce n’est pas la question de la personnalité de l’agresseur, de sa santé mentale ou de la malchance de la victime. Ce sont des agressions d’hommes (à 96%) envers des femmes (84% des victimes sont de sexe féminin).
D'où sortent ces chiffres ? Du Gouvernement du Québec ? De Stat-Canada ? Des Calacs ? 
Tant que la société et les gouvernements se boucheront les yeux et les oreilles sur le phénomène tabou des hommes eux aussi victimes, elles auront beau jeu de faire dire à leurs chiffres n'importe quoi. 
C'est comme pour le coronavirus : si on ne le cherche pas, on ne le trouvera pas !

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Osez la Vérité
Franca Cortoni ne se fera pas des amies parmi les groupes féministes. La chercheuse et psychologue spécialisée en agressions sexuelles de l’école de criminologie de l’Université de Montréal vient de lancer une véritable attaque frontale contre l’angélisme doctrinaire qui présente inlassablement les femmes comme des êtres inoffensifs à jamais voués au statut d’éternelles victimes des turpitudes sexuelles masculines.

Imaginez, l’hérétique vient de publier une recherche qui établit que la violence sexuelle des femmes est six fois plus répandue que ce qu’on imagine.

(...)

Dans cette foulée, madame Cortoni dénonce le deux poids, deux mesures, dans les perceptions selon le sexe de l’agresseur et celui de la victime : « Il y a un changement qui se fait graduellement dans la société. Si on prend l’exemple d’un enseignant de 35 ans qui s’engage dans des contacts sexuels avec une fille de 14 ans, personne n’hésite à dire que ce n’est pas correct. Mais quand on tourne ça à l’inverse, une femme avec un garçon, on dit : “Mais oui, mais les garçons aiment ça”. »

Source : https://dixquatre.com/2017/07/18/la-violence-sexuelle-feminine-six-fois-plus-repandue-quon-le-croit/

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Olivier Kaestlé : 
Une étude de Statistique Canada intitulée Les contrevenantes au Canada, 2017, réalisée par Laura Savage et rendue publique il y a un an, est à ce propos riche en statistiques :

« En 2017, 942 777 personnes de 12 ans et plus étaient impliquées dans une affaire criminelle déclarée par la police et, parmi ces auteurs présumés, 1 personne sur 4 (25 %) était de sexe féminin Note . »
« Par exemple, les adolescentes représentaient 31 % des auteures présumées d’agression sexuelle de niveau 1, et 59 % des auteures présumées de distribution non consensuelle d’images intimes. De même, la proportion d’auteures présumées était plus élevée parmi les jeunes auteurs présumés que parmi les auteurs présumés d’âge adulte. Par exemple, de tous les jeunes auteurs présumés de communications indécentes ou harcelantes, 41 % étaient de sexe féminin (par rapport à 36 % des auteurs présumés d’âge adulte). »
(...)

Comment régler un problème dont on nie l’existence ?
Une conclusion générale se dégage de cette étude, riche en statistiques : tout comme dans le cas des prédatrices sexuelles, les contrevenantes toutes catégories restent sans doute sous représentées, mais elles n’en demeurent pas moins sous-estimées au chapitre de leur impact sociétal comme de leur nombre.

Cette réalité entraîne deux conséquences fâcheuses : leurs victimes ne sont pas autant reconnues qu’elles le devraient, et la criminalité féminine étant banalisée, ses causes restent ignorées. Comment régler ou gérer une problématique quand on ferme délibérément les yeux sur ses origines ?
Source  Olivier Kaestlé

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Sur des recherches biaisées pour faire des femmes victimes à plein temps ? 
Par Michel Belley
Extrait : 
DÉFINITION DE VICTIME COMME PERSONNE « MAL À L’AISE »
La nouvelle façon de définir si vous êtes une victime, prônée dans cette recherche selon une tendance d’extrême gauche victimaire, est de déterminer si vous avez été « mal à l’aise » dans certaines situations : lorsqu’on vous regarde, vous déshabille du regard, vous aborde avec un sujet d’ordre sexuel, vous conte des blagues à caractère sexuel ou lorsque vous êtes en présence d’une personne peu vêtue. Dans ce dernier cas, que devrait-on penser des Femen, des nudistes qui ont manifesté lors du printemps érable et des mouvements hippies des années 70  ?

De plus, vous êtes aussi victime de « violence » dès qu’on vous fait une remarque désobligeante sur votre apparence, un sifflement, une caresse, un frottement non désiré, ou même des « invitations à prendre un verre ou à sortir pour manger, malgré vos refus »

Sur le sujet du féminisme-masculisme

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" Et dire que ce dont souffrent les femmes, ce sont elles qui l’ont engendré en revendiquant pour elles seules l’éducation du jeune enfant, dire que les futurs misogynes dont souffriront leurs filles, ce sont les mères qui les préparent. "
(Olivier, Christiane, Les enfants de Jocaste, p.72, Paris, Denoël/Gonthier)

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