La santé mentale des jeunes exacerbée par les médias et les expertes

Puis presqu'à chaque semaine de 2020, les jeunes ont entendu parler de la Covid-19, de la pandémie qui selon les experts avait une influence sur leur santé mentale. Causés par le confinement, l'école en ligne et l'impossibilité de pouvoir voir ses amies,  entre autres.

Les études des experts publiées 27 juillet 2020

Extrait:

Des auteurs (Ghosh et al., 2020) suggèrent que chez les enfants et les adolescents, les mesures de confinement auraient davantage d’impact sur la santé psychologique que le virus lui-même. Ainsi, ces auteurs mettent en garde contre les effets négatifs associés au bouleversement de la vie quotidienne des jeunes (confinement à la maison, fermeture des écoles, perturbation du sommeil,…) et du développement d’habitudes de vie malsaine (manque d’activité physique, mauvaise alimentation,…). 

Par ailleurs, le confinement pourrait aussi accentuer d’autres facteurs de risque de détresse psychologique chez les enfants, par exemple en augmentant la maltraitance. Ces éléments constituent pour le moment des pistes de réflexion qui restent à être validées et leur impact, mesuré.

Cependant, les résultats doivent être interprétés avec prudence, Source Crise.ca

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L'enquête publiée dans la Tribune
Selon les données récoltées entre le 18 et le 26 janvier 2021 en Estrie et en Mauricie–Centre-du-Québec, trois fois plus de jeunes du secondaire (tous niveaux confondus) rapportent avoir une santé mentale « passable ou mauvaise » comparativement aux résultats obtenus lors d’une enquête similaire menée en 2020, soit avant la pandémie.

« Je voulais qu’on sache comment ils se sentent aujourd’hui, maintenant », ajoute la professeure-chercheuse qui a pu compter sur la collaboration de trois étudiants du programme de doctorat en médecine de l’Université de Sherbrooke pour sonder pas moins de 16 500 jeunes de 12 à 25 ans, dont 11 500 élèves du secondaire et 5000 étudiants du cégep ou de l’université.

Plus de contacts, moins d’écrans
Les trois principaux facteurs rapportés par les jeunes comme étant nuisibles à leur santé psychologique sont la réduction des activités sociales, sportives et culturelles, l’augmentation significative du temps d’écran dans leur vie ainsi que la tenue des cours qui se donnent parfois majoritairement en ligne.

La solution proposée par les jeunes :
Voilà que les jeunes expriment vouloir retrouver plus de cours en présentiel, davantage de contacts en personne, notamment lors d’activités parascolaires, et surtout moins d’écrans », mentionne Mélissa Généreux, qui s’est d’abord dite surprise par ce dernier élément étant elle-même mère de famille.
Source : https://www.latribune.ca/actualites/un-jeune-sur-deux-presente-des-symptomes-danxiete-ou-de-depression-07303ae7ad21cafb9daad97edde638b1

À force de répéter dans les médias, qu'il est normal pour les jeunes,  d'être tanné, fatigué, anxieux et dépressif, des personnes à l'écoute vont finir par le croire qu'ils sont tannés, fatigués, anxieux et dépressifs, de là à vouloir exiger des gouvernements certains privilèges.

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