Des logements subventionnés pour les 300 000 femmes battues ? MAJ

Une députe provinciale instrumentalise les supposées violences conjugales pour encore sucer  plus d'argent du gouvernement. Au pays des licornes et des farfa-dettes l'argent pousse dans les arbres ou tombe du ciel.

Qui a oublié le mensonge des 300 000 femmes battues ?

Si les gouvernements se fiait aux fausses statistiques concernant les dites violences conjugales, c'est pas moins de 300 000 logements subventionnés que Québec devrait faire construire pour plaire à ces lugubres misandres. Mais pour elles, 300 000 logements subventionnés serait-il suffisant ? La aussi le syndrome de la saucisse Hygrade s'appliquerait : plus on leurs en construira, plus elles en demanderont et plus elles en demanderont et plus le gouvernement en  construira, tétages de votes obligent.

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Dans un communiqué intitulé Faussetés statistiques et dégâts sociaux, paru dans le Montréal Express le 10 juin 2010, le groupe L’Après-rupture, celui-là même qui avait démontré la fumisterie des 300 000 femmes battues au Québec, affirmait :

« Depuis des décennies, toutes les politiques d’intervention gouvernementale en matière de violence conjugale ont été élaborées à partir de faussetés statistiques. 

Les gouvernements québécois successifs ont scandaleusement modifié les systèmes de santé et de justice afin de respecter ces impostures statistiques et afin de se soumettre aux enquêtes biaisées des organisations féministes. Les dégâts sociaux qui ont suivi ont été incommensurables. 

Les finances publiques ont aussi été largement plombées par le versement de plus de 10 milliards $ au fil des ans dans les coffres des multiples organisations féministes. »

La source de ces extraits : https://dixquatre.com/2018/01/24/les-gestapounes-sont-parmi-nous/ par Olivier Kaestlé que vous pouvez suivre aussi sur :

Olivier Kaestlé (@eltseak) · Twitter


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