Syndrome de la saucisse Hygrade et les "féminicides" (MAJ)

Avez-vous déjà entendu cette pub de saucisses à hot-dog Hygrade des années 1980 ?

Plus de gens en mangent parce qu’elle est plus fraîche; elle est plus fraîche parce que plus de gens en mangent...

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Syndrome Hygrade et l'effet Werther

L'effet Werther des médias a une grande influence menant aux féminicides et aux violences conjugales.
Pourquoi ? Parce que le syndrome ou le principe de la saucisse Hygrade se manifeste dans les publicités des féministes, avec les porte-paroles des gouvernements ou des différents partis politiques et que vont exploiter évidemment et ostensiblement les médias, d'où les effets Werther.

L'effet Werther selon Wikipedia 

L'effet Werther ou suicide mimétique est un phénomène mis en évidence en 1982 par le sociologue américain David Philipps, qui a étudié la hausse du nombre de suicides suivant la parution dans les médias d'un cas de suicide. Le nom est inspiré par une vague de suicides s'étant produite en Europe lors de la parution du roman de Goethe, Les Souffrances du jeune Werther

Est-ce que les journalistes féministes (et les journalistes utérhommes)  seraient assez intelligentes et auraient-elles assez de jugeottes pour cesser de parler de féminicides et de violences conjugales ? J'en doute ! Pour elles, c'est le beurre et l'argent du beurre....

Un article intéressant publié dans la Presse du 13 août 1995 sur le sujet :

https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2180333

Donc, bref, concernant les féminicides et les violences conjugales :  plus les médias en parlent, plus il y en a et plus il y en a, plus les médias en parlent et plus les médias en parlent, plus il y en a..

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Richard Martineau a écrit un excellent article ce matin qui s'intitule  Bonne fête les papas.

En voici un extrait : 

(...) 

L’ENNEMI PUBLIC NUMÉRO UN

Car s’il y a une figure qui est traînée dans la boue, depuis quelque temps, c’est bien la figure du père.
Le père, c’est l’autorité, la tyrannie, l’oppression.

Il représente tout ce qui est actuellement perçu comme mauvais.
Nous sommes à l’ère de la mère. La mère enveloppe, dorlote, bichonne, caresse, pouponne, cajole, câline, chouchoute.

La mère est la figure idéale pour les petits lapins. C’est le papier bulle dans lequel ils se roulent.
C’est la doudou avec un grand D, le « safe space » ultime, quand tu entends un mot qui t’offusque et te bouleverse, zoum, tu files sous la jupe de maman, et tout de suite, le monde redevient joli, gentil, douillet.
Comme lorsque tu te lovais dans son ventre et que rien ne pouvait t’atteindre.

Alors que le père est âpre, raboteux, rugueux.  

Lire l'article en entier :

https://www.journaldequebec.com/2021/06/20/bonne-fete-les-papas