Un Canada moumounisé

Faire du Canada un pays de moumounes ? 

Le PM du Canada est-il en train de terminer la moumounisation du pays ?

Commencée il y a une soixantaine d'années sous le régime du bonhomme, c'est son fils utérhomme qui a maintenant les deux chaussettes sur les pédales. Pleurs, larmes, excuses, sanglots et trémolos, rien de trop beau pour émulsionner vos émotions.

Les universités du Canada et celles du Québec sont déjà moumounisées à l'extrême et les gouvernements des provinces agissent en suivant-culs.

Quand aux médias, toujours avides de profits, ils en font leurs choux-gras.

***

Définition de moumoune selon Wiki

https://fr.wiktionary.org/wiki/moumoune

Commentaires

Charles Millar a dit…
Il y a beaucoup de vrai dans ce que vous écrivez, il me semble. Il est vrai, par exemple, lorsque les étudiants parlent de micro-agressions, qu'ils diabolisent des choses qui ne sont pas si graves. Ils donnent l'impression de croire que la vie doit nécessairement être douce et favorable en tout temps, alors que ce ne peut être le cas. La vie peut être dure et sans pitié, par exemple lorsqu'un proche meure, qu'on perd un emploi ou qu'une personne nos dit des choses désagréables. Normalement, les déconvenues font en sorte de rendre la peau des gens plus épaisse et plus capable d'encaisser les coups. Parler de micr0-agressions, en ce sens, c'est demander que nous soyons tous gentils et fins en tout temps. L'être humain n'est pas comme ça, il y a toujours des choses difficiles à prendre, par exemple si quelqu'un nous affirme quelque chose de désagréable mais vrai. Toute vérité n'est pas douce, elle peut aussi être difficile à prendre. Il faut prendre en compte l'intention derrière l'affirmation. Pourquoi telle personne dit telle chose? Pour diminuer, pour insulter, pour informer, pour améliorer? L'intonation peut faire toute la différence.
Merci pour ce commentaire.
Les moins de 30 ans n'ont pas eu à passer à travers de vraies crises économiques comme celles du début des années 1990, et toutes les précédentes. Encore moins les guerres du Vietnam et les précédentes.

Aujourd'hui, dès que survint le moindre drame, des jeunes prennent la rue, font des marches blanches, agitent des bannières pour réclamer des choses du gouvernement. Ils ont peur de tout, même de leur ombre.
Heureusement, ce ne sont pas tout les jeunes qui agissent comme cela.

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