Justin Trudeau doit s'excuser, pas le Pape

 Justin Trudeau demande au Pape et à l'Église de s'excuser pour des événements qui remontent à plus de 60 ans même à plus de 100 ans, alors que lui refuse de le faire pour des événements qui remontent à 50 ans.

Pitoyable et déplorable PM.

Trudeau doit s'excuser 

Le premier ministre Justin Trudeau ne veut pas s'engager à présenter des excuses de la part du gouvernement fédéral en lien avec la crise d'Octobre.

PHOTO : LA PRESSE CANADIENNE / ADRIAN WYLD

Radio-Canada
le 7 octobre 2020
Le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, persiste et signe : le gouvernement fédéral ne présentera pas d'excuses pour avoir utilisé la Loi sur les mesures de guerre, en octobre 1970, pour répondre à la crise provoquée par le Front de libération du Québec (FLQ).

(...)

Moi, je suis préoccupé par les dossiers dont je dois traiter; pour moi, présentement, c'est la COVID-19. Je comprends qu'il y a des gens préoccupés par des événements d'il y a 50 ans, mais moi, ce sont les événements d'il y a cinq jours, cinq semaines, ou dans cinq semaines qui me préoccupent le plus.

Une citation de :Justin Trudeau, premier ministre du Canada

Outre les 500 arrestations réalisées sans mandat, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont subi des perquisitions de la part des forces de l'ordre dans le cadre de la crise d'Octobre

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1739331/trudeau-crise-octobre-excuses-entrevue

Commentaires

Charles Millar a dit…
Justin Trudeau descend de son père, mais n'en a pas l'envergure. Il est vrai qu'il n'a pas non plus la condescendance et l'attitude méprisante qui caractérisaient malheureusement l'ineffable Pierre Eliott Trudeau, mais cela ne compense pas son manque de substance. Le gouvernement fédéral s'enligne de la même façon, présentement, sous Trudeau fils, qu'à l'époque de Trudeau père, c'est-à-dire dans un sens centralisateur, laminant tout sur son passage, sans se préoccuper des réalités locales ou des particularités régionales. Il faut réformer tout le Canada, de fond en comble, en partant de la cheffe d'État actuelle, Élizabeth II, jusqu'aux villes et aux villages, une réforme politique intégrale qui donne plus de pouvoirs aux francophones et aux autochtones, les deux grands groupes qui ont été spoliés depuis des siècles par les Canadiens anglais. Il faut des territoires autochtones (réserves) plus grands, ayant plus de ressources, et des conseils de bande plus forts, ayant plus de pouvoirs politiques réels. Il faut aussi que le Québec devienne au minimum une république autonome au sein d'une nouvelle république canadienne, renouvelée de A à Z, une république autonome avec des pouvoirs complets (sauf en ce qui touche la représentation extérieure et la défense) pour assurer notre survie collective et la pérennité de notre langue et de notre culture en sol américain. Il faut aussi des districts linguistiques autonomes, tant au Québec (pour les communautés anglophones) qu'hors-Québec (pour les communautés francophones) pour assurer le respect de leurs droits linguistiques e leur existence future.

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