Making Big Money with #MeToo

 From the Lockport Journal 

Was #MeToo more about his money?
As Americans, we've lived in a new shadow culture of #MeToo. It became fashionable, morbid yet socially attractive and, most of all, profitable to be offended by other people.

A wise prosecuting attorney whispers, "Everything I say is a lie and I'm telling the truth."

To wit: You accidentally bump into another, talk too colorfully, carelessly squint, say "Jesus" in frustration, or use your very real political disorder as an "excuse" — the list goes on forever — and you've suddenly offended some money-seeking twit.

Perhaps once well-intended, the #MeToo Movement now seems to be a cash grab disguised as piety, as revenge, or justice. In too many cases, the accused are the real victims. One is guilty of mistaken desire, harassment or exclusion, easily convicted when guilty of wealth.

Read all : 

https://www.lockportjournal.com/opinion/mailbag-was-metoo-more-about-his-money/article_0acf6eae-bfc0-5af3-b51f-08455c21526f.html

oooo

Traduction Google

En tant qu'Américains, nous avons vécu dans une nouvelle culture de l'ombre[avec]de #MeToo. Il est devenu à la mode, morbide mais socialement attractif et, surtout,  profitable d'être offensé par les autres.

Un procureur avisé chuchote : « Tout ce que je dis est un mensonge et je dis la vérité.

À savoir : vous vous heurtez accidentellement à un autre, parlez de manière trop colorée, louchez négligemment, dites « Jésus » de frustration, ou utilisez votre véritable désordre politique comme une « excuse » – la liste est interminable – et vous avez soudainement offensé un crétin à la recherche de l'argent. 

Peut-être autrefois bien intentionné, le mouvement #MeToo semble maintenant être une ponction d'argent déguisée en piété, en vengeance ou en justice. Dans de trop nombreux cas, les accusés sont les véritables victimes. On est coupable de désir erroné, de harcèlement ou d'exclusion, facilement condamné quand on est coupable de richesse.

----


Commentaires

Articles les plus consultés sont :

Pink Floyd's Roger Waters: I’m on a Ukrainian ‘Kill List’

Comment les États-Unis ont planifié la guerre et la crise énergétique en Europe

Candice Greene (Candy) danseuse à gogo des années 1960

Gethsémanie par John Littleton ... et vous profanerez toute la paix du monde

Les deux athées du Journal qui croient au dieu psycopathe d'Israël

Ingérences canadiennes dans les élections en Russie