Des milliards de dollars pour enseigner aux autochtones comment nettoyer des lièvres ?

Combien ça coûte ? 

"Selon Tom Flanagan , professeur émérite de sciences politiques et chercheur émérite à l'École de politique publique de l'Université de Calgary, les gouvernements ont payé ce qu'on pourrait à juste titre appeler des « réparations » aux bandes indiennes pendant près de deux décennies sous le nom trompeur de réconciliation. « Appelez cela des réparations furtives », a-t-il déclaré.

Cela comprend près de 5 milliards de dollars en paiements individuels à ceux qui ont fréquenté les pensionnats indiens et 43,3 milliards de dollars pour les enfants des réserves placés en famille d'accueil par les autorités sociales.

Flanagan a souligné que le coût des réclamations approuvées jusqu'à présent s'élève à 27,8 milliards de dollars en paiements individuels, 31,9 milliards de dollars en paiements collectifs destinés à améliorer les services locaux, pour un total de près de 60 milliards de dollars. Les réclamations actuellement en cours viendront considérablement augmenter ces sommes.

À l’avenir, le budget fédéral de 2022 promet « d’investir 11 milliards de dollars supplémentaires sur six ans pour continuer à soutenir les enfants et les familles autochtones et pour aider les communautés autochtones à continuer de croître et de façonner leur avenir ».

(...)

Comment nettoyer des lièvres  

Au lieu de cela, le chef Wesley et son conseil de bande, comme la plupart de leurs homologues à travers le Canada, avec l'encouragement actif du gouvernement fédéral, se concentrent sur la restauration « des valeurs anciennes grâce à des programmes culturels et fonciers qui enseignent la culture, la langue et les pratiques anishinaabe sur le territoire ». la terre, comme comment chasser, pêcher et nettoyer les animaux », une impasse socio-économique naïvement sentimentale s’il en est. Pendant ce temps, selon le recensement de 2021 de Statistique Canada, seulement un adulte de plus de 24 ans en âge de travailler sur cinq possède un diplôme d'études secondaires, dans une communauté avec un taux de décrochage scolaire de 80 %.

Au lieu d'essayer d'améliorer les résultats scolaires pour répondre aux besoins d'emploi du Canada, la communauté a adopté « des programmes axés sur la terre… calqués sur les enseignements ancestraux concernant la chasse, le piégeage, la pêche et la récolte. Ils prennent des pratiques ancestrales sur la terre et leur imprègnent la langue et la spiritualité anishinaabe. À Cat Lake, des versions à petite échelle de ces programmes ont eu lieu, certains étudiants sortant avec l'expert foncier de la communauté pour apprendre à piéger et à nettoyer un lapin.

Note : extraits de l'article traduit en français par Google 

Tout lire : https://irsrg.ca/articles/indigenous-reparations-underdevelopment-and-dysfunction-need-rethinking/

Commentaires

P.A. Beaulieu a dit…
Le plus terrible, concernant les réserves indiennes, c'est qu'en plein d'endroits, même en 2024, il n'y a pas de service d'aqueducs et d’égouts dignes de ce nom. Ce n'est pas normal que des gens habitant au Canada doivent encore utiliser des chaudières pour aller puiser de l'eau dans une rivière ou un lac ou encore, excusez mes mots crus, chier et pisser dans une autre chaudière et aller dumper ça dehors...

J'ai eu connaissance de cas d'évacuations médicales d'urgence dans des réserves cries du côté ontarien de la baie James quand j'étais prof à Wemindji, de 1995 à 1998, parce que des enfants étaient empoisonnés par de l'eau contaminée.

Je saute ici du coq à l'âne, mais je crois bon de mentionner que je considère que cela a été une dépense juste de consacrer plus d'un million de dollars pour la construction d'une aréna à Wemindji, et ce même si la réserve ne comptait alors que 1200 habitants. Il faut dire que dans un milieu isolé comme celui-là, une patinoire couverte incluant une salle d'entraînement et d'autres services est utilisée à plein. La glace était ouverte au moins 18h par jours à l'époque.

Je n'ai rien contre le fait qu'on dépenser pour assurer des conditions sanitaires acceptables pour quiconque habitant au Canada, mais il faudrait aussi nous assurer que les sommes dépensées servent à des fins acceptables.

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