Quand une chroniqueuse du JdQ s'en prend aux pénis
Vous serez invités, chers lecteurs masculins, à lire cet article misandre d'une chroniqueuse du Journal de Québec.
Mais avant, veuillez prendre connaissance des effectifs médicaux du Québec
Selon le site FMSQ, il y aurait 10 945 médecins spécialistes et il y aurait presque égalité femmes/hommes : 49-51
Mais ce qui est frappant, c'est les spécialités choisi par les hommes par rapport aux femmes.
Ainsi donc, là ou il y a peu de risque, les femmes sont majoritaires. Par exemple en dermatologie ou encore en obstétrique-gynécologie.
Par contre là où il y a de grands risques, les hommes sont majoritaires, par exemple en CCVT (chirurgie cardio-vasculaire et thoracique) . En 2024 il y avait 60 hommes contre seulement 7 femmes.
https://fmsq.org/fr/notre-profession/les-effectifs-medicaux
Revenons à nos misandres qui s'en prennent aux pénis qui selon la journaliste du jdq, fouiller dans les pénis des hommes serait plus payant pour les médecins que de fouiller dans les vulves, vagins des femmes. (Notez que les femmes médecins sont majoritaires en médecine et à égalité avec les hommes en Spécialité)
Ma réponse à cette chroniqueuse serait ceci :
L'ouverture est grande chez la femme, mais petite chez l'homme.
Depuis des millénaires se sont, soient des hommes ou des sages-femmes qui ont procédés aux accouchements. Les médecins hommes ou femmes n'ont pas besoin de chirurgie pour voir ce qui se passe à l'intérieure du vagin, ils utilisent des spéculums ou des cystoscopes modernes pour ces examens, mais fouiller dans le cul des hommes ou prélever des échantillons dans la prostate des hommes, c'est autre chose, puisque plus risqués, donc plus $$$ pour eux.
https://www.journaldequebec.com/2024/09/30/les-penis-enrichissent-les-medecins
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