Olivier Kaestlé, Richard Martineau et la Covid-19

Olivier Kaestlé
Quand Richard Martineau a écrit cet article dans le Journal de Montréal le 26 septembre 2020, je me suis demandé s'il ne parlait pas d'Olivier Kaestlé.

COMMENT ON DEVIENT UN CONSPIRATIONNISTE
Eh bien, c’est ce qui arrive avec certaines personnes.
À la différence qu’au lieu de poursuivre un lapin qui possède une montre à gousset, ils suivent une idée fixe.
Jusqu’à ce qu’ils tombent dans un trou tête première, comme Alice.
Et qu’ils ne puissent plus en sortir...

C’est arrivé à un de mes amis.
Au début de la pandémie, il se posait des questions parfaitement légitimes sur la gestion de la crise par le gouvernement.
Pourquoi on est passé de « Surtout, ne portez pas de masque » à « Vous devez porter un masque, sinon on va vous donner une amende » ?
Pourquoi on met autant l’accent sur le nombre de cas, alors que c’est le nombre d’hospitalisations et de décès qui est important ?
Pourquoi on a confiné tout le monde alors que la crise se déroulait surtout dans les CHSLD ?
Bref, des questions sensées, que beaucoup de gens se posaient.
Mais petit à petit, son scepticisme s’est transformé en idée fixe, en obsession.
Il s’est mis à passer de plus en plus d’heures sur les médias sociaux. 
Il a commencé à communiquer avec des coucous qui lui envoyaient des vidéos paranoïaques. 
Lire la suite : https://www.journaldemontreal.com/2020/09/26/le-trou-du-lapin
 
Sur les médias sociaux
Il y en a des dizaines d'autres, en voici quelques-uns des plus récents....

Source : https://twitter.com/eltseak

Olivier Kaestlé, le blogueur  la condition masculine était reconnu pour ses propos modérés et nuancés.
Comment va t-il s'en sortir et regagner la confiance que ses lecteurs assidus -dont moi-- avaient en lui ?

***
 Les chialeuses, ça chialent pour rien 
Le respect se mérite

Commentaires

Personnellement, je me suis toujours laissé guider par ma conscience, et non par l'opinion des autres. Je ne sacrifierai jamais la première à la deuxième.

Je ne sais si Martineau parlait de moi dans sa chronique. Vous n'êtes pas le seul à avoir formulé cette hypothèse. Quoi qu'il en soit je continuerai à en faire à ma tête et à exprimer mon opinion sur cette crise davantage politique, économique et sociale que réellement sanitaire, et le ferai sans pour autant sombrer dans les abîmes de mépris, de grossièreté, de vulgarité et de raccourcis faciles et culpabilisateurs qui semblent devenus la marque de commerce de Martineau 2.0.

Vous auriez la possibilité d'une foule de captures d'écran pas mal plus compromettantes que celles que vous avez affichées de ma part. Bonne journée.

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