Culture woke : tout ce qui était mal est maintenant bien

La culture woke 
« On est dans un système d’inversion où tout ce qui est bien est mal ; où tout ce qui est mal est bien ; tout ce qui est interdit est permis ; tout ce qui est permis est interdit » (S. De Beketch)

Sortir de La dictature des émotions
SORTIR DE LA DICTATURE DE L'ÉMOTION Anne-Cécile Robert, journaliste au Monde diplomatique dénonce «le bain lacrymogène dans la société est plongée», (...) Elle analyse en particulier l’importance prise par les marches blanches. Et l’auteure de dénoncer le formatage des débats publics au nom de la sensibilité, la fascination pour le direct et l’immédiateté, la passion victimaire et «les commémorations douloureuses» et tout ce qui «ensanglote» -Nicolas Mathey, L’Humanité, 21 février 2019

Comment on fabrique des misogynes 
" Et dire que ce dont souffrent les femmes, ce sont elles qui l’ont engendré en revendiquant pour elles seules l’éducation du jeune enfant, dire que les futurs misogynes dont souffriront leurs filles, ce sont les mères qui les préparent. "
(Olivier, Christiane, Les enfants de Jocaste, p.72, Paris, Denoël/Gonthier, 1980)

Commentaires

Charles Millar a dit…
Je ne sais pas par oû commencer. La culture woke n'est pas mauvaise en soi, mais elle est issue d'une culture basée sur le matérialisme et lindividualité, dans laquelle ce qui est valorisé est l'accumulation de richesse et l'absence de contrainte sous toutes ses formes. L'idéal, dans cet esprit, c'est le multimilliardaire, genre DOnald Trump ou (c'est déjà mieux) Elon Musk, richissime et libre d'agir comme il l'entend, du moins en apparence. M. Musk, tout comme M. Trump, est un citoyen et il est donc soumis aux impôts et aux contraintes liées à l'appartenance à un État. Le monde occidental, particulièrement son volet nord-américain, particulièrement sa partie états-uniennes, a valorisé la réussite économique, alors que l'économie n'est que la base servant d'assise aux réalités politiques, les seules qui valent, en-dehors du surnaturel et du non-scientifique. Ce qui compte le plus, pourtant, dans le monde humain, celui de la biologie, c'est la vie et sa transmission, laquelle exige plus qu'un individu. Un enfant, c'est la rencontre de deux familles et l'amorce potentielle d'une troisième. Cela implique donc l'existence de familles additionnelles. Jamais deux sans trois, disaient nos ancêtres, dans leur sagesse instinctive.
J'aime les femmes, de tout mon coeur, je l'afirmerai jusqu'à ma mort, mais je ne suis pas aveugle et je ne dois pas m'aveugler moi-même. Parfois, elles me perdent ou me font peur. Elles peuvent être tout aussi extrêmes ou repoussantes que nous, à leur façon insondable.

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