Justin Trudeau ; il est temps de cessez vos dépenses sauvages

M. Trudeau, reprenez le contrôle des dépenses sauvages que vous faites en notre nom.
Selon le compteur de la dette canadienne sur le site de l'IEDM  la dette du Canada est exagérément énorme et vous en être responsable et vous devriez vous excuser.

En passant, M. Trudeau, les acadiens et les 500 québécois attendent toujours vos excuses : les acadiens pour les déportations et les Québécois pour des arrestations arbitraires en octobre 1970

La dette du Canada
Notre « compteur de la dette canadienne » montre en temps réel la croissance de la dette du secteur public. Il s’agit de la dette nette, soit les passifs (dette brute) moins les actifs financiers. Étant donné la nature non ou peu monnayable des actifs non financiers du gouvernement fédéral, il serait économiquement injustifié de les soustraire aux passifs.

En nous basant sur les données fournies par le ministère des Finances dans son budget du 19 avril 2021, nous en venons à estimer que la dette augmente de : 154,7 milliards $ d’ici au 31 mars 2022, ou 447 millions $ par jour, ou 310 493 $ par minute, ou 5 175 $ par seconde.
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Pour revenir sur vos dépenses sauvages, si le Québec devait se séparer un jour du joug d'Ottawa, soyez prévenu que le Québec, qui a toujours été disposé à payer sa part de la dette canadienne, mais que si vous ne parvenez pas dès maintenant à vous contrôler, le Québec pourrait changer d'idée.

Commentaires

Charles Millar a dit…
Le gouvernement canadien a calculé qu'étant donné la pandémie, il fallait impérativement soutenir la population, notamment les contribuables et les entreprises. Le principe se défend: à quoi bon un budget équilibré et des dettes réduites si la population a disparu ou a été diminuée de 50 % (ou plus, ou moins) à cause du virus? Ce qui est bien moins excusable et ce qui peut capter l'attention des électeurs d'ici les prochaines élections, c'est que les dizaines de milliards de déficits accumulés au cours des précédentes années du rêgne libéral, antérieurement à la pandémie, ne sont aucunement excusables et soulignent en fait l'urgence de reprendre un jour le contrôle des finances publiques. Les conservateurs vont évidemment jouer sur ce genre d'arguments et peuvent très bien (seront sans doute) portés au pouvoir grâce à eux. Il y a toute une prise de conscience à faire dans ce domaine, au Canada et au plan mondial, sur le poids grandissant des déficits et de la dette qui en résulte, au niveau des perspectives économiques, que ce soit au plan des gouvernements, des corporations, des organismes ou des familles/individus. Cela va très certainement devenir un élément important du débat public. Comment parvenir à redresser les choses? Où couper? Où investir?

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