Sept pensionnats contrôlés par les bandes indiennes de la Saskatchewan en 1991

Selon le ministère des Affaires indiennes, citée dans La Presse du 24 juillet 1991 dans le Cahier A, sept de ces pensionnats existent toujours, en Saskatchewan, mais sont contrôlés par des bandes indiennes.

Lisez le mea culpa des oblats en 1991

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The Marieval (Cowessess, Grayson) Indian Residential School, which operated from 1899 to 1997, was located 24 kms north of Broadview, east of Crooked Lake in the Qu'Appelle Valley on what became part of the Cowessess First Nation Reserve in 1981 (Treaty 4). 
The Roman Catholic Church operated the school, first by four Sisters of Notre Dame des Missions de Lyon and from 1901 - 1979 by the Sisters of St. Joseph of St. Hyacinthe. 
Previously, a day school had existed at Crooked Lake from 1886 - 1888, but it closed and Catholic students were transported to Qu'Appelle school until the boarding school opened in 1899. 

The Federal Government purchased the property for $70, 000 in January 1926. 
"In 1949, citing their rights under Treaty 4, the parents at the Cowessess Reserve petitioned the government for a non-sectarian day school. 'We ask for a higher standard of education so as our children will grow up in the spirit of self reliance.'” 
This petition was dismissed, at that time

🔔The Government assumed responsibility for the residential school in 1968 and in 1970 proposed the closure of the residences. This proposal was protested by David Ahenakew because it was  "not the wish of the Indian people affected.

Traduction libre : Le gouvernement fédéral a  géré ce pensionnat en 1968 et en 1970 il a proposé de fermer les pensionnats. Cette proposition a été contestée par David Ahenakew parce que ce "n'était pas le souhait des autochtones concernés" .

The residence's existence continued to be precarious and there were arguments made for its existence into 1978.  
🔔The Cowessess Band took over operations in 1981

🔔The school closed in 1997 and was controversially demolished in 1999 and finally (50 years after the petition) replaced with a day school. 
🔔"The church, rectory, and cemetery remain."5 (5 Missing Children and Unmarked Burials, Vol. 4, p. 129 ) Truth and reconciliation 2008-2015

Payment for Pupils "Indian Commissioner David Laird reported in 1902 that the Indian agent for the Cowessess Reserve believed 'it has been a rule with the Roman Catholic Schools to be generous to the parents of pupils they may get.' 
Laird added, 'This ‘generous’ practice is not confined to R. C. Schools, and I have had occasion within the last year to censure what appeared more like a payment for pupils than mere generosity.'” 

La suite : 

Conclusion : Les autochtones connaissaient bien avant aujourd'hui, l'existence des sépultures non-marqués car la commission vérité et réconciliation en parle dans son rapport 2008-2015.
Il ne faut pas oublié que depuis 1981 ce sont les autochtones de la bande Cowessess qui ont gérés ces pensionnats jusqu'en 1997 et qu'ils ont faits démolir en 1999. 
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Des langues fourchues vont jusqu'à dire que des membres de l'église catholique auraient enlevés les stèles des tombeaux. Faut-tu être des envoyés du Diable pour oser affirmer de telles sottises.

Commentaires

Charles Millar a dit…
Je ne suis pas sûr de comprendre l'objectif de la publication. Que cherche-t-on à prouver? Que veut-on démontrer? C'est dans le genre 'tranche de vie'?
SORTIR DE LA DICTATURE DE L'ÉMOTION Anne-Cécile Robert, journaliste au Monde diplomatique dénonce «le bain lacrymogène dans la société est plongée», (...) Elle analyse en particulier l’importance prise par les marches blanches. Et l’auteure de dénoncer le formatage des débats publics au nom de la sensibilité, la fascination pour le direct et l’immédiateté, la passion victimaire et «les commémorations douloureuses» et tout ce qui «ensanglote» -Nicolas Mathey, L’Humanité, 21 février 2019

M. Millar, les médias actuels nous plongent dans cette dictature de l'émotion. Évidemment ils le font pour de l'argent via les cotes-d 'écoutes.
Je ne sais pas si c'était ma publication ou bien les deux liens et les deux extraits qui vont avec.
Des centaines de questions se posent quand à savoir pourquoi il y avaient autant de sépultures non-marquées puisque les pensionnats étaient sous responsabilité autochtones depuis 1981. Ces pierres tombales, stèles ou marqueurs, qui devaient les payer et qui devaient les entretenir ?
De toute façon, mes articles servent à faire réfléchir mes lecteurs pour qu'ils ne gobent pas tout ce qui se dit dans les médias.

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