Politiciens et les créateurs de malaises

Publié par l'Indépendant du Québec le 5.9.21

Les créateurs de malaises électoraux et comportements déviants

En tapant "politique, fédérale, malaise" dans mon moteur de recherches il en est sortit ceci:

Google

Je remarque que les recherches sur les malaises faites par les internautes visent surtout le parti conservateur et qu'on retrouvent comme par hasard dans des articles des réseaux de la propagande gauchiste : Radio-Canada et ceux anciennement reliés à Gesca.

Avez-vous lus ?

Une analyse des perceptions citoyennes à l'égard du marketing politique. Examen de l’hypothèse du « marketing malaise » Thèse Émilie Foster Sous la direction de: Thierry Giasson, directeur de recherche ?

Si votre réponse est non, vous le devriez !

Extrait :

Les participants se montrent très critiques des médias qui sont perçus comme des facilitateurs des comportements déviants en politique puisqu’ils ne parlent pas assez des enjeux

https://corpus.ulaval.ca/jspui/bitstream/20.500.11794/30187/1/34166.pdf

Commentaires

Charles Millar a dit…

Je suis un peu surpris de cet article. Les médias traditionnels (écrits et télévisuels) vous semblent gauchistes? Moi, il me semble qu'ils appartiennent au passé, c'est-à-dire à la droite, généralement vue comme attachée au présent (ne rien changer) ou au passé (retournons-y le plus vite possible), plutôt qu'à l'avenir (perçu habituellement comme au moins potentiellement meilleur). Il est vrai qu'il y a des dossiers comme se conforment mal à ce modèle, comme l'environnement (la conservation du milieu naturel, vu sous cet angle, et le nom même des conservateurs, semblent aller dans le même sens général). Il est vrai que le dossier environnemental a quelque chose de révolutionnaire, voire de progressiste, à la lumière des problèmes qu'amènent et amèneront les changements climatiques, à long terme. Je note une chose, c'est que, dans le domaine des médias, les supports papier sont en grande difficulté, les supports électrons (TV-radio) résistent tant bien que mal et les supports numériques (sociaux) s'en tirent bien mieux. Le problème, c'est que l'on ne peut tout faire sur la toile. Rien ne peut réellement remplacer le contact humain direct, l'Afrique le fait, elle qui préfère de loin les palabres interminables aux affrontements inte-ethniques, sanglants et sans aucune pitié. L'Afrique a beaucoup à nous apprendre...

06 septembre, 2021 01:06