Quand divorces et pensions alimentaires mènent à des "féminicides"
Nos législateurs se trompent. Toutes leurs lois misandres n'arrêteront jamais les "féminicides"
Nos médias sont tombés dans le wokisme puérile en comptabilisant et en séparant les homicides selon le genre.
Féminicides : Olivier Kaestlé le dit dans ses mots :
Les femmes tuées dans un contexte conjugal l’ont-elles vraiment été « parce qu’elles sont des femmes » ? J’ai des doutes. Dans un cas de dispute, est-ce la féminité de la victime qui déclenche le meurtre, ou la dispute ? Dans le cas de la rupture, est-ce le sexe de la victime qui suscite le meurtre, ou la rupture ? Dans le cas du meurtre en raison de la maladie ou de la vieillesse, est-ce le sexe de la victime qui entraîne le meurtre, ou la maladie ou la vieillesse ?
http://olivierkaestle.blogspot.com/2021/04/huit-feminicides-en-huit-semaines-de.html
Le Québec en serait rendu au 15e dit "féminicides"
L'aspect le plus frappant de ce phénomène, c'est que ces "féminicides" surviennent après séparations et divorces, demandés le plus souvent et presque majoritairement par les femmes qui sont au courant qu'elles ont la justice de l'État de leurs côtés. D'ailleurs à ce sujet, les hommes ne sont favorisés qu'à 13 % pour l'obtention de la garde exclusive des enfants.
L'autre aspect le plus frappant, c'est que les meurtriers ne sont pas tous des québécois francophones de souche, même qu'ils seraient la minorité.
4 féminicides sur 15 attribuables à des québécois francophones de souche. Pour les besoins de la cause, j'ai mis en caractères gras les meurtres par des québécois francophones de souche.
LES FÉMINICIDES DE 2021 AU QUÉBEC
- 5 février: Elisapee Angma, 44 ans, est tuée à Kuujjuaq. Son ex-conjoint, Thomassie Cain, 41 ans, se serait suicidé après le meurtre.
- 21 février: Marly Edouard, 32 ans, est abattu d’une balle à la tête à proximité de son domicile, à Laval. Elle avait été victime de violence conjugale quelques semaines plus tôt. L’auteur du meurtre n’a toujours pas été épinglé.
- 23 février: Nancy Roy, 44 ans, est poignardée à mort dans son logement de Saint-Hyacinthe. Son ex-conjoint, Jean-Yves Lajoie, est accusé du meurtre.
- 1er mars: Myriam Dallaire, 28 ans, et sa mère Sylvie Bisson, 60 ans, sont tuées à coups de hache à Sainte-Sophie. L’ex-conjoint de Mme Dallaire, Benjamin Soudine, est accusé du double meurtre.
- 18 mars: Carolyne Labonté, 40 ans est retrouvée sa vie dans une résidence de Notre-Dame-des-Monts, dans la région de la Capitale-Nationale. Après quatre semaines d’enquête, la Sûreté du Québec épingle son conjoint, Éric Levasseur, 46 ans. Celui-ci est accusé de meurtre non prémédité.
- 19 mars: Nadège Jolicoeur, 40 ans, est poignardée à mort dans le véhicule de taxi de son conjoint, Enock Fenelon. Ce dernier s’enlève ensuite la vie à l’aide de son couteau.
- 23 mars: Rebekah Harry, 29 ans, succombe à ses blessures trois jours après avoir été sauvagement battue à coups de poing par son conjoint, Brandon McIntyre, 32 ans. Ce dernier a été arrêté pour ce crime.
- 25 mars: Kataluk Paningayak-Naluiyuk et son conjoint sont retrouvés sans vie dans une résidence d'Ivujivik, dans le Nord-du-Québec. L’autopsie a révélé que la femme de 43 ans avait été assassinée. La mère de six enfants aurait été tuée par son conjoint, qui s’est ensuite enlevé la vie.
- 16 avril: Dyann Serafica-Donaire, une mère de famille de 38 ans, est assassinée par son conjoint dans la résidence familiale de Mercier, en Montérégie. Après le crime, Robert West, 50 ans, s’enlève la vie.
- 18 mai: Zoleikha Bakhtiar, 36 ans, aurait été poignardée à mort par son mari dans leur logement de Côte-Saint-Luc, dans l’ouest de l’île de Montréal. Ariobarzan Bakhtiar, 35 ans, aurait lui-même contacté la police pour avouer son crime. Il est présentement accusé du meurtre de sa conjointe.
- 9 juin: Lisette Corbeil, 56 ans est retrouvée morte dans sa résidence de Contrecoeur. Elle aurait été tuée par son ex-conjoint, David Joly, 49 ans, qui s’est suicidé sur place après avoir commis le meurtre.
- 15 juin: Nathalie Piché, 55 ans, aurait été poignardée à mort par son conjoint lors d’une dispute dans un logement du secteur de Limoilou, à Québec. Noureddine Mimouni, 33 ans, s’est livré à la police quelques heures après le meurtre. Il a formellement été accusé de meurtre non prémédité.
- 19 juillet: Une femme est retrouvée dans une mare de sang dans un logement du quartier Parc-Extension, à Montréal. Son décès est constaté sur place. La victime a été tuée dans un contexte conjugal.
- 27 septembre: Andréanne Ouellet, une mère de famille de 32 ans, est retrouvée sans vie dans sa résidence de Saint-Donat, dans la région de Lanaudière. Vingt-quatre heures après le meurtre, son conjoint de 36 ans est arrêté.
Féminicides, les féministes surtout les féministes misandres sont le problème
Ne cherchez pas de midi à quatorze heures, rien qu’à voir on voit bien que toutes les solutions proposées par les féministes misandres n’ont fait qu’aggraver la situation.
Le vrai problème, c’est que les féministes ont infiltrées les gouvernements.
Le vrai problème, c’est que ces féministes mènent les gouvernements par le bout du nez.
Le vrai problème, c’est que pour s’acheter le vote des femmes, les gouvernements multiplient les dépenses aux mauvais endroits.
Il n’a absolument rien donnée la pluie de milliards de dollars versée par les gouvernements depuis les années 1960 pour combattre les violences dites conjugales. La construction des centaines de maisons d’hébergements pour femmes uniquement n’a rien donnée, pas plus que d’en construire des milliers d’autres résoudra ce faux problème.
Langues de vipères
Le vrai problème, c’est que les gouvernements refusent de tenir compte du fait que des femmes sont aussi agressives et violentes que les hommes.
Les gouvernements devraient savoir que femmes utilisent depuis longtemps leurs langues comme armes de destruction massives.
Est-ce qu’elle se tourne la langue sept fois avant de comparer la queue du voisin devant lui et la meilleure amie de celle-ci ?
Est-ce qu’elle se tourne la langue sept fois avant de traiter le père de ses enfants de pourriture et autres qualificatifs déshonorants ?
Est-ce qu’elle se tourne la langue sept fois avant de parler dans son dos et devant ses enfants de séparation ou de divorce ?
Est-ce qu’elle menace son conjoint de le plumer et le mettre dans la rue ?
Est-ce qu’elle le menace de l’accuser d’agression sexuelle, d’inceste ou de violence contre elle-même et ou sur leurs enfants ?
Est-ce qu’elle utilise le chantage pour obtenir la garde de ses enfants ?
Les féministes d’État ont tout faux depuis le début.
Les mentalités qu’il faut changer, ce n’est pas celles des hommes mais bien celles des féministes qui ont infiltrées les gouvernements.
-Inscrire dans la loi et punissable d'emprisonnement de 5 ans minimum, toutes fausses accusations de violences conjugales, toutes menaces et tous chantages dans le but d'obtenir la garde d'enfants.
-Abolir les pensions alimentaires à vie. Que celles qui se voient confiées la garde des enfants n'auraient aucun droit à une pension alimentaire à moins d'entente à l'amiable entre les deux parties.
-Admettre que les femmes sont aussi violentes que les hommes. Mêmes punitions pour les mêmes crimes, et mêmes temps en prison que pour les hommes.
-restreindre l'accès au divorce. C'est tellement facile pour la plupart d'entres-elles de se tourner vers la petite justice pour demander le divorce.
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