Les fragiles canadiennes

 On parle beaucoup de Santé Mentale ces jours-ci chez les athlètes féminines..

 Flattées à l'extrême avec des "vas-y, tu es capable" et  à nous le podium, 

Le Canada féministe et sexiste voulait donner presque toute la place aux femmes aux JO de Rio et le Canada a envoyé une délégation composée de 59 % de femmes et de 41 % d'hommes.

N'oubliez-pas qu'elles ont été choisies  il y a une dizaine d'années par des centaines d'éclaireurs envoyés à travers le Canada. La stratégie était de trouver dans chaque sport des filles avec un certain talent pour faire compétition aux pays moins forts. Voyez pourquoi et comment :

Épreuves ciblées
Le manque de compétition dans les épreuves féminines se veut aussi un facteur qui milite pour le Canada. À nous le podium en tire parti quand il décide d'attribuer l'argent des contribuables aux fédérations sportives. «Nous ciblons stratégiquement les épreuves féminines dans certains sports, car dans certaines, il y a moins de profondeur en terme de compétitions», a reconnu Merklinger.
Voir le texte ici : https://chialeuses.blogspot.com/2021/07/les-succes-programmes-des-canadiennes.html

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La délégation canadienne aux jeux de Tokyo :
Hommes 145 (39%)
Femmes 226 (61%)

Vous devez faire attention à la propagande des féministes universitaires qui vont tenter de vous faire croire que les athlètes féminines, les femmes sont sous-financées. Pour envoyer une délégation de 226 femmes laissez-moi vous dire que les femmes ont reçues plus que leur part du financement.

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On peut s'apercevoir de la fragilité des athlètes, surtout féminines : l'Américaine Biles et d'autres dont la japonaise joueuse de tennis Naomi Osaka qui avait fait l'impasse à Roland-Garos pour "préserver sa santé mentale" et qui a été éliminée aux Jeux de Tokyo dès les 8e de finale.

Il n'y a pas qu'aux Jeux Olympiques où l'on retrouve des âmes fragiles.

On a fait taire un prêtre du nom de Rhéal Forest parce qu'il a osé dire tout haut ce que tout le monde connaissent tout-bas.

Voici l'article de Radio-Canada en entier :
Le prêtre Rhéal Forest a affirmé que des survivants mentent au sujet des agressions subies dans les pensionnats pour Autochtones.
Radio-Canada
2021-07-29 | Mis à jour hier à 18 h 39
L’archidiocèse de Saint-Boniface interdit à l’un de ses prêtres de prendre la parole en public, de prêcher et d’enseigner, à la suite de propos offensants qu’il a tenus à l’égard des survivants des pensionnats pour Autochtones.
Dans un sermon prononcé devant les paroissiens de l’église St. Emile, à Winnipeg, le 10 juillet, le prêtre, Rhéal Forest, a affirmé que des survivants des pensionnats mentent au sujet des abus sexuels pour obtenir plus d’argent du processus de règlement avec le gouvernement fédéral.

S’ils voulaient de l’argent supplémentaire, sur les sommes déjà données, ils devaient parfois mentir. Mentir sur le fait qu’ils avaient été abusés sexuellement et, hop, 50 000 $ de plus. C’est assez difficile de ne pas mentir quand on est pauvre, a-t-il dit.

Rhéal Forest a aussi reproché aux Autochtones et aux médias de répandre des faussetés sur les pensionnats.

Il a ajouté que tous les Autochtones qu’il a connus au cours de ses 22 années de service dans le Nord aimaient les pensionnats. Il a reconnu que quelques-uns avaient été maltraités, en affirmant qu’une partie des mauvais traitements devait être imputée aux gardiens laïques plutôt qu'aux religieuses ou aux prêtres.
Regardez le sermon du père Rhéal Forest, en anglais (attention, certains propos pourraient choquer) :


PHOTO : ST. EMILE PARISH/FACEBOOK
Ces déclarations ont été faites pendant des messes célébrées à l’église catholique romaine de St. Emile, alors qu'il remplaçait le père Gerry Sembrano, qui était en vacances. Les messes célébrées par Rhéal Forest ont été publiées sur Facebook.
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Encore Radio-Canada

 Extrait : 

L’ombudsman de Radio-Canada reproche à Bureau, non pas les questions qu’il a posées, mais les questions... qu’il n’a pas posées ! C’est hallucinant ! La prochaine fois, que l’ombudsman envoie donc la liste des questions et sous-questions approuvées à l’avance qui doivent être posées par un animateur qui a 37 années d’expérience derrière la cravate.

L’ombudsman considère que Bureau aurait dû « confronter Monsieur Raoult avec plus de vigueur » .

Mais alors, pourquoi n’applique-t-on pas cette même règle chaque fois qu’un animateur à Radio-Canada donne la parole à des invités de la gogauche, des féministes qui utilisent des fausses statistiques sur la culture du viol, des écologistes jusqu’au-boutistes, des antiracistes racistes, des artistes qui s’autoflagellent, des professeurs d’histoire de Concordia qui pérorent sur le décolonialisme, des professeurs d’études de genre de l’UQAM qui déblatèrent contre le patriarcat, etc. ?

https://www.journaldequebec.com/2021/07/30/qui-a-peur-de-stephan-bureau


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