Jean "Grèce" Charest rides again
Jean Charest ci devant ex chef du parti conservateur du canada et ex pm du Québec --pendant trop d'années-- semblerait réfléchir à sa possibilité de revenir chef du parti conservateur du canada.
Lors d’un premier entretien, en janvier 2016, les policiers de l’UPAC demandent à M. Fortier si le salaire de M. Charest correspondait à son niveau de vie. Sa réponse est sans équivoque: en faisant «une règle de trois», il constate un manque à gagner qu’il évalue de 200 000$ à 300 000$ par année.Chalet à North Hatley
Comment M. Charest pouvait-il avoir les moyens de payer l’hypothèque de sa maison achetée en 1999 à Westmount, la location de son chalet à North Hatley, ses taxes foncières, les frais d’inscription de ses enfants à l’école privée et ses vêtements? demande-t-il.
«Il roulait comme quelqu’un qui gagnait 700 000$», a affirmé M. Fortier aux enquêteurs.
Lire le dossier : https://www.journaldequebec.com/2019/10/29/la-police-a-enquete-sur-la-theorie-du-pont-dor
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Jean Charest une langue sale, langue de vipère
Décembre 2000 : L'affaire Yves Michaud et le piège tendu à Lucien Bouchard
Celui-ci a été accusé d'antisémitisme ( racisme) par des libéraux pour un discours alors que Jean Charest était chef du plq.
https://www.ledevoir.com/politique/quebec/311668/michaud-veut-des-excuses-de-charest |
Encore un autre article :
À lire : https://www.ledevoir.com/opinion/libre-opinion/597467/affaire-michaud-remettre-chacun-dans-son-droit
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La langue de vipère en remet en 2003 lors du débat des chefs
https://www.ledevoir.com/non-classe/24596/charest-refuse-de-faire-des-excuses-a-parizeau
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Charest nous poursuit ? Poursuivons-le !
(Ce texte a d’abord été publié dans Le Devoir.)
Il est outré car, dans l’enquête policière qui tente de prouver qu’il a établi le plus vaste système de corruption politique de notre histoire moderne, il y a eu des fuites. Le public a eu accès à des détails de la vie privée de l’ancien premier ministre. Il en a « ressenti des sentiments de frustration et d’embarras ». Sa requête ne précise pas de quels détails il s’agit. Mais le seul élément de vie privée réellement croustillant nous apprenait que M. Charest effectuait de nombreux voyages à New York en compagnie de son ami et collecteur de fonds Marc Bibeau et que ce dernier payait généreusement toutes les factures. Puis-je indiquer que mon opinion de lui n’a nullement été amoindrie par ces révélations. Il a fait bien pire.
Poursuivons Jean Charest
La suite : https://jflisee.org/charest-nous-poursuit-poursuivons-le/
Commentaires
Encore une fois, une enquête policière fait chou blanc dans une affaire de corruption qui émanait de la mare politique. Cette fois-ci, il s’agit de ce qui a été présenté comme peut-être la plus grosse fraude immobilière de l’histoire du Québec.
C’est l’enquête Justesse de l’Unité permanente anticorruption (UPAC), lancée en 2010 et révélée par Radio-Canada à la fin de 2016, alors que des accusations étaient, disait-on, imminentes.
Au cœur de l’enquête Justesse, des argentiers du Parti libéral : William Bartlett, Franco Fava et Charles Rondeau, ainsi que Marc-André Fortier, ex-président de la société d’État qui gère le parc immobilier du gouvernement, la Société immobilière du Québec (SIQ). La police les soupçonnait de s’être divisé 2 millions dans une affaire de baux gonflés.
Des argentiers libéraux qui utilisent leurs positions et leurs réseaux pour s’en mettre plein les poches : c’est au fond ce qui a mené à la création même de l’UPAC, c’est ce qui a teinté toute la fin des années 2000 et le début de la décennie actuelle en politique.
Dans l’enquête Justesse, en plus, imaginez : du fric qui transite en Autriche, en Suisse, au Lichtenstein et aux Bahamas.
Pourquoi le quatuor Bartlett, Fava, Rondeau et Fortier a-t-il été lié à du fric qui a transité par ces destinations exotiques ? Pourquoi avoir des comptes à l’étranger, notamment dans ce paradis fiscal bahaméen ?
On ne le sait pas : ils ne se sont jamais expliqués.
https://www.lapresse.ca/actualites/2019-11-09/fripouilleries
Un militant de la circonscription de Groulx, Martin Drapeau, membre du Parti libéral du Québec depuis 30 ans, a tenté de présenter un amendement visant la tenue «d’une vaste enquête sur l’attribution des contrats publics au Québec, particulièrement à l’industrie de la construction». Mais cet amendement n’a pu être débattu puisque personne parmi les quelque 500 libéraux présents dans la salle ne s’est levé pour seconder la présentation de la proposition de M. Drapeau.
Durrisac, le 14 novembre 2010
https://www.ledevoir.com/politique/quebec/310958/conseil-general-du-plq-tout-debat-sur-une-commission-d-enquete-est-ecarte.
Bibi