Ce n’est pas le 7 octobre, ni une autre date en cause aujourd’hui, mais 1948 ... et même avant
Une vérité qui dérange ...
Ce n’est pas le 7 octobre, ni une autre date en cause aujourd’hui, mais 1948
Par Jeremy Salt
Israël est incontrôlable, mais il a toujours été hors de tout contrôle. L’Occident a aussi permis cela, et aura à en payer les conséquences.
Il s’agit bien de 1948. Non pas du 7 octobre, ni de 1967, 1982 ni encore de 2008 ni d’aucune autre date auxquelles Israël s’est livré à d’affreuses atrocités en Palestine et alentour mais bien de 1948.
Un chapitre de fourberie
Ce qui s’est tramé à huit clos pour garantir qu’un état colonial de peuplement soit fondé en Palestine contre le souhait du peuple autochtone n’est qu’un chapitre d’une longue histoire de fourberie, de duperie, de violation permanente du droit international et de violation des principes les plus élémentaires des Nations Unies.
Le soi-disant « problème palestinien » n’a jamais été un « problème palestinien » mais un problème occidental, un problème sioniste, un mélange combustible à long terme des deux qui, en ce moment même, est en train d’exploser et dont les coupables rendent leurs victimes responsables.
La raison pour laquelle nous en sommes arrivés là, au bord du précipice, comme on dit, ne ferait aucun doute si les gouvernements et médias occidentaux avaient jamais demandé à Israël de rendre des comptes au lieu de le protéger, de soutenir et même de justifier les pires crimes au nom du « droit » de se défendre d’Israël.
Suggérer que le voleur a un quelconque « droit » de défendre un bien volé est grotesque. Ce droit revient à la personne qui se bat pour son retour, comme le font les Palestiniens chaque jour depuis 1948.
Ce qui s’est tramé à huit clos pour garantir qu’un état colonial de peuplement soit fondé en Palestine contre le souhait du peuple autochtone n’est qu’un chapitre d’une longue histoire de fourberie, de duperie, de violation permanente du droit international et de violation des principes les plus élémentaires des Nations Unies.
Le soi-disant « problème palestinien » n’a jamais été un « problème palestinien » mais un problème occidental, un problème sioniste, un mélange combustible à long terme des deux qui, en ce moment même, est en train d’exploser et dont les coupables rendent leurs victimes responsables.
La raison pour laquelle nous en sommes arrivés là, au bord du précipice, comme on dit, ne ferait aucun doute si les gouvernements et médias occidentaux avaient jamais demandé à Israël de rendre des comptes au lieu de le protéger, de soutenir et même de justifier les pires crimes au nom du « droit » de se défendre d’Israël.
Suggérer que le voleur a un quelconque « droit » de défendre un bien volé est grotesque. Ce droit revient à la personne qui se bat pour son retour, comme le font les Palestiniens chaque jour depuis 1948.
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