Regardez bien l'image ci-dessous et surtout la date : le 26 novembre 2023.
Et tout en bas la journalise Léa Carrier et la professeuse de so, so so, sociologie Mélissa Blais qui "parlent du discours toxique des influenceurs masculinistes"
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Un an plus tard, le 10 novembre 2024, toujours à la grande messe du dimanche payée (par nos impôts et taxes) , le même sujet revient avec en prime la dragqueen Mona de Grenoble.
Captures d'écran
Comme dirait l'autre, TLMEP recycle.
Quant à recycler; recyclons :
Comme il fallait s'y attendre, la neuvaine du men bashing chère au mouvement féministe québécois et occidental vient de débuter ce 25 novembre, journée internationale dite de lutte contre la violence faite aux femmes. Les rituelles litanies présentant les femmes comme seules victimes de la violence, et les hommes, comme ses uniques auteurs, si ridicules et réductrices soient-elles, inonderont l'espace médiatique, avec la flasque complaisance de ce qui nous sert de journalistes.
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Le men bashing, un rendez-vous annuel... |
Opportunistes et rapaces par nature, pourquoi nos militantes se priveraient-elles de cette lucrative activité durant laquelle elles se serviront de la cause des femmes à des fins exclusivement corporatistes afin de conserver leur pouvoir étatique et le financement qu'il garantit. Devenus lobby, les groupes féministes tenteront d'accroître leur chiffre d'affaire en nous inondant de statistiques dopées et d'états d'âme victimaires agrémentés d'une idéologie qu'elles voudront faire passer pour la réalité. Le 6 décembre, anniversaire du massacre de Polytechnique, représentera le point culminant de cette écoeurante opération de relations publiques.
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