La Cour pénale internationale (CPI) contre Jéhovah des armées
Les images et les témoignages sont assez nombreux pour que la CPI émette un mandat d'arrêt contre le Jéhovah des armées du peuple élu et son ancien exécuteur de ses basses oeuvres Yoav Gallant.
Quels sont les éléments clés des mandats d'arrêt de la CPI contre MM. Nétanyahou, Gallant et Deif?
Le siège de la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye aux Pays-Bas. Ce tribunal compte 900 employés originaires de quelque 100 États. On y parle six langues : l'anglais, l'arabe, le chinois, l'espagnol, le français et le russe. Les deux langues de travail sont l'anglais et le français.
La période que couvrent ces mandats d'arrêt s'étend du 8 octobre 2023 (au lendemain des attaques du Hamas en sol israélien) au 20 mai 2024, date à laquelle le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Karim Khan, a déposé sa demande.
Quels sont les éléments clés des mandats d'arrêt de la CPI contre MM. Nétanyahou, Gallant et Deif?
Le siège de la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye aux Pays-Bas. Ce tribunal compte 900 employés originaires de quelque 100 États. On y parle six langues : l'anglais, l'arabe, le chinois, l'espagnol, le français et le russe. Les deux langues de travail sont l'anglais et le français.
La période que couvrent ces mandats d'arrêt s'étend du 8 octobre 2023 (au lendemain des attaques du Hamas en sol israélien) au 20 mai 2024, date à laquelle le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Karim Khan, a déposé sa demande.
[ Donc, il ne se serait rien passé de criminel de la part d'israel, pays d'apartheid et de destruction massive avant le 8 octobre 2023, ni rien après le 20 mai 2024 ? ]
La CPI affirme avoir de bonnes raisons de croire que MM. Nétanyahou et Gallant sont pénalement responsables du crime de guerre de famine comme méthode de guerre, ainsi que des crimes contre l'humanité de meurtre, de persécution et d'autres actes inhumains. Elle ajoute que les deux hommes portent également la responsabilité pénale en tant que dirigeants civils du crime de guerre consistant à diriger intentionnellement une attaque contre la population civile.
La Cour estime que les crimes contre l'humanité présumés font partie d'une attaque généralisée et systématique contre la population civile de Gaza.
La juridiction estime plausible que les deux hommes aient intentionnellement causé le manque de nourriture, d'eau, d'électricité et de carburant, ainsi que de fournitures médicales spécifiques dans la bande de Gaza.
La CPI dit croire qu'il n'y avait aucune nécessité militaire évidente ni aucune autre justification en vertu du droit international humanitaire pour les restrictions sur l'aide humanitaire.
Par conséquent, la CPI estime que MM. Netanyahu et Gallant doivent répondre du crime de guerre consistant à imposer la famine.
Le manque de nourriture, d'eau, d'électricité et de carburant, ainsi que de fournitures médicales spécifiques, a créé des conditions de vie calculées pour entraîner la destruction d'une partie de la population civile de Gaza.Une citation deLa Cour pénale internationale
Cette situation a entraîné la mort de civils, notamment d'enfants, par malnutrition et déshydratation.
La CPI a ainsi dit croire que le crime contre l'humanité de meurtre a été commis à l'égard de ces victimes.
Toutefois, les juges n'ont pas pu déterminer que tous les éléments du crime contre l'humanité d'extermination étaient réunis, comme le demandait M. Khan dans sa requête.
En empêchant la fourniture de matériel médical, y compris les anesthésiques, d'entrer à Gaza, les deux hommes sont soupçonnés d'avoir commis d'autres actes inhumains.
Les médecins ont été contraints d'opérer des blessés et de procéder à des amputations, y compris sur des enfants, sans anesthésie, a fait savoir la CPI.
La Cour affirme que les actions présumées des deux dirigeants israéliens ont privé une partie importante de la population civile de Gaza de ses droits fondamentaux, y compris les droits à la vie et à la santé.
La population gazaouie aurait été ciblée pour des motifs politiques et/ou d'appartenance nationale, a estimé la Cour, qui conclut que le crime contre l'humanité de persécution a été commis
La CPI affirme avoir de bonnes raisons de croire que MM. Nétanyahou et Gallant sont pénalement responsables du crime de guerre de famine comme méthode de guerre, ainsi que des crimes contre l'humanité de meurtre, de persécution et d'autres actes inhumains. Elle ajoute que les deux hommes portent également la responsabilité pénale en tant que dirigeants civils du crime de guerre consistant à diriger intentionnellement une attaque contre la population civile.
La Cour estime que les crimes contre l'humanité présumés font partie d'une attaque généralisée et systématique contre la population civile de Gaza.
La juridiction estime plausible que les deux hommes aient intentionnellement causé le manque de nourriture, d'eau, d'électricité et de carburant, ainsi que de fournitures médicales spécifiques dans la bande de Gaza.
La CPI dit croire qu'il n'y avait aucune nécessité militaire évidente ni aucune autre justification en vertu du droit international humanitaire pour les restrictions sur l'aide humanitaire.
Par conséquent, la CPI estime que MM. Netanyahu et Gallant doivent répondre du crime de guerre consistant à imposer la famine.
Le manque de nourriture, d'eau, d'électricité et de carburant, ainsi que de fournitures médicales spécifiques, a créé des conditions de vie calculées pour entraîner la destruction d'une partie de la population civile de Gaza.Une citation deLa Cour pénale internationale
Cette situation a entraîné la mort de civils, notamment d'enfants, par malnutrition et déshydratation.
La CPI a ainsi dit croire que le crime contre l'humanité de meurtre a été commis à l'égard de ces victimes.
Toutefois, les juges n'ont pas pu déterminer que tous les éléments du crime contre l'humanité d'extermination étaient réunis, comme le demandait M. Khan dans sa requête.
En empêchant la fourniture de matériel médical, y compris les anesthésiques, d'entrer à Gaza, les deux hommes sont soupçonnés d'avoir commis d'autres actes inhumains.
Les médecins ont été contraints d'opérer des blessés et de procéder à des amputations, y compris sur des enfants, sans anesthésie, a fait savoir la CPI.
La Cour affirme que les actions présumées des deux dirigeants israéliens ont privé une partie importante de la population civile de Gaza de ses droits fondamentaux, y compris les droits à la vie et à la santé.
La population gazaouie aurait été ciblée pour des motifs politiques et/ou d'appartenance nationale, a estimé la Cour, qui conclut que le crime contre l'humanité de persécution a été commis
Source : https://ici.radio-canada.ca/info/en-direct/1012135/cour-penale-mandat-arret-netanyahou
Commentaires