La marche des féministes égoïstes

Du blogue de Jeanne Smits 
N'oublions jamais...
On ne peut penser qu’une société puisse combattre efficacement le crime quand elle le légalise elle-même dans le cadre de la vie naissante.
(Benoît XVI, 16 septembre 2006) 

***
Ces marcheuses qui gueulent pour que des femmes aussi égoïstes qu'elles, puissent garder le droit de tuer en toute légalité les enfants qu'elles portent.

L'avortement volontaire est une pratique barbare, moyenâgeuse, cruelle et déplorable contre un enfant qui ne peut se défendre contre leurs agresseuses.

La marcheuse pour l'IVG devrait pourtant savoir que si sa mère avait eu une avorteuse ou un avorteur entre ses jambes, jamais elle aurait eue l'occasion de marcher en hurlant, pancarte à la main des slogans et des obscénités que des diablesses de la terre lui ont dictées.

Il y a deux choses que les féministes qui se croient autorisées à parler au nom des autres, ont terriblement peur de perdre : le droit de tuer légalement leur enfant à naître et ....  et la possibilité de ne plus recevoir une pension alimentaire lorsqu'elle décideront de divorcer pour de l'herbe plus ou moins verte chez le voisin. Pour ce qui est des pensions alimentaires, ce n'est pas encore dans les cartons des gouvernements.

L'enfant à naître est une personne unique, 

Les pro-choix ont souvent trois prétentions concernant ce qui est à l'intérieur d'une femme enceinte. D'abord, les pro-choix prétendent souvent que c'est un morceau du corps de la femme. Mais comment sait-on si quelque chose fait partie du corps d'une femme? Trois indices: (1) chaque cellule a le même code génétique; (2) le même sang circule partout; (3) chaque composante collabore pour la même fin (garder cette femme en vie).

Qu'en est-il du «bidule» dans le ventre de la femme enceinte? 

(1) Le code génétique n'est pas le même (il est un mélange du père et de la mère); 

(2) le même sang ne circule pas (le placenta établit une barrière entre les deux, et souvent le groupe sanguin du bébé est incompatible avec celui de la mère); 

(3) les composantes ont des fins différentes (ce qui grandit dans l'utérus ne devient pas un rein ou un poumon de la mère, mais bien un bébé). 

Quoi que soit ce qui est à l'intérieur de cette femme enceinte, ce n'est pas un morceau de son corps. Si un biologiste disait le contraire, il serait ridiculisé par la communauté scientifique toute entière.

Source : http://www.proviequebec.ca/fr/pourquoi.htm




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