Ces Statistiques qu'on dope aux stéroïdes pour des votes et de l'argent
Il y a 10 ans, le vendredi 30 avril 2010, Gilles Proulx chroniqueur dans le Journal de Montréal écrivait un excellent article : CES STATISTIQUES QU'ON DOPE AUX STÉROIDES
Dans cet article, il revient sur le sujet des supposées violences conjugales et des 300 000 femmes battues. Évidemment, comme toutes personnes censées, il n'y croit pas.Une bonne cause, dit-il, qui rallie tout le monde afin de récolter les honneurs et les piastres.
L'État adopte aussi la bonne cause, pour l'image et parce que les politiciens veulent gagner des votes.
Dans un paragraphe suivant, Proulx parle de l'Église catholique qu'on accuse pour des crimes commis par des prêtres ou des frères 40 ou 50 ans après les faits.
L'Église, dit-il, a œuvré pour nos malades et nos enfants (presque bénévolement) pendant plus de 3 siècles. Maintenant saignons-la.
Proulx termine son article en parlant du fameux livre Les 300 000 femmes battues, y avez vous cru; un livre dont personne ne discute et totalement absent dans les médias traditionnels.
oooOooo
C'est maintenant ce que font des requins, qui après avoir "conseillé" des gens sur la meilleure façon de mentir dans l'unique but de faire de l'argent sur le dos de l'Église catholique.
Marc Miller, le ministre, des affres autochtones, au lieu de se dire perplexe, devrait plutôt demander à son gouvernement de rembourser l'Église catholique pour tous les abus et chantages qu'elle a due subir depuis 1763.
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