Les médias et les antivax se nourrissent l’un de l’autre.

 Les médias et les antivax se nourrissent l’un de l’autre.

L’Organisation mondiale de la Santé a officiellement déclaré le statut de pandémie pour la COVID-19.

Au Québec, pour le moment, la propagation du coronavirus (COVID‑19) est sous contrôle. Il y a de la transmission communautaire du virus dans toutes les régions du Québec. Le gouvernement prend donc toutes les mesures nécessaires pour freiner le plus possible la contagion.

Les plus récentes données sur l’évolution de la COVID‑19, dans les 24 dernières heures, au Québec, font état de :

3 600 nouveaux cas, pour un total de 853 120 personnes infectées*;

48 nouveaux décès, pour un total de 13 113 décès;

Source : https://www.quebec.ca/sante/problemes-de-sante/a-z/coronavirus-2019/situation-coronavirus-quebec/#c47900 au 30 janvier 2022

Pas de contacts, tabarnak

Les restrictions sanitaires n’ont qu’un but : éviter les contacts pour que la contagion de la Covid-19 ne se répande pas parmi la population. Il faut absolument éviter la multiplication des contacts.

Beaucoup trop de médias participent aux convois des anti vaccins à Ottawa. Les médias et les anti vaccins se nourrissent l’un de l’autre.

Quand tu chantes, je chante avec toé libârté ? Ô hey !

Les médias et les grosses organisations télévisuelles avec leurs émissions télés qui pointent leurs caméras sur la « caravane pour la liberté » ne font qu’aggraver la situation.

Les manifestants contre « toute pis toute » avec pas de masque vont propager sans même s’en rendre compte, la contamination.

Les contestataires à terre ou en truck seront responsables de la progression de la maladie. Bernier veut vous berner. Mad Max dit qu’il est en bonne santé physique, mais on n’est pas certain qu’il le soit autant du côté heavy mental.

Ça smell pas bonne !

L’augmentation de la circulation des camions au diesel, fait que ça smell pas bonne et en plus du vacarme des klaxons, bref tout pour empoisonner son ottavien.

My body my choice (mon corps mon choix)

Puisque nous sommes en 2022, il n’y a rien d’étonnant de voir que les rebelles avec leurs grosses bébelles auraient adoptés les discours féministes. Tout pour vous faire compatir avec ces gros tas d’amas de cellules.

Malgré tout cela, les psychiatres recommandent d’être gentils avec les antivax pour ne pas les braquer. Mais, à l’impossible, nul n’est tenu !

Tantôt vers 11:15, vous allez parler M. Trudeau. Soyez généreux avec eux, dites à la population qu'ils (les anti vaccins ) étaient plus de 100 000 à parader sur la Colline parlementaire. Surtout n'allez pas les traiter pas de covidiots, de sans desseins, de terroristes, de pas de "énie", de pas de dents, de racistes, de "m'as-tu-vu" à la TV, de senteux, d'écornifleux et autres qualificatifs semblables.

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Êtes-vous conscient de la gravité de la situation ?

Vous devriez savoir qu’il n'aura suffi que d'un seul cas pour propager la Covid-19 à travers la planète. Un seul ! Car les virus n’ont pas de frontières mais les voyageurs tout comme les truckers en ont.

Vous être libre de ne pas vous faire vacciner, mais vous n’avez pas la liberté de répandre la Covid, car parmi ces nombreux variants, le plus récent est Omicron qui est hautement transmissible.

 À méditer, non pas à critiquer.

L’heure est grave, car l’épidémie, la pandémie devrais-je dire, est encore à nos portes. Elle est là parmi vous. Elle se cache dans votre nez ou dans vos poumons. Éternuez ou toussez et la Covid-19 se mettra à saliver. Au début l’asymptomatique que vous êtes, saura giguer. Un gros rhume, vous vous direz ! Quelques jours plus tard, incapacité de suivre la cadence. Pire, la grande faucheuse pourrait vous emporter.

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Éclosion ou transmission ?

Il y a une grande différence entre une éclosion dans un milieu et la transmission de la maladie.

La page de l’INSPQ diffuse de l'information sur les éclosions de COVID-19 selon le type de milieux (de travail, scolaire, de garde, de soins, etc.).

Extraction :

Éclosion

Une éclosion correspond à la survenue d’au moins 2 cas confirmés de COVID-19 au cours d’une période maximale de 14 jours et ayant un lien avec un lieu ou un événement précis.

Transmission [de Chevrolet]

Le SRAS-CoV-2 se transmet surtout à proximité par déposition de gouttes ou d’aérosols sur les muqueuses ou par inhalation d’aérosols de toutes tailles. La transmission par aérosols, surtout à proximité, est bien reconnue et semble être le mode prédominant de transmission du SRAS-CoV-2.

Certaines investigations d’éclosion ont démontré une transmission du SRAS-CoV-2 à plus de deux mètres lorsque plusieurs personnes étaient présentes pendant une période prolongée dans un endroit restreint, sans masque médical ou couvre-visage dans des endroits ventilés inadéquatement. Certaines situations, comme des contacts avec des cas suspects ou confirmés qui ne portent pas de masque et qui ne peuvent respecter la distanciation sont particulièrement à risque.

Il est toutefois difficile de distinguer comment se fait réellement la transmission puisqu’à proximité, elle peut autant avoir été causée par un contact direct, par les aérosols dans l’air que par un contact avec une surface contaminée par des particules respiratoires émises par une personne infectée. C’est la raison pour laquelle nous parlons d’un continuum : ce sont toutes des particules respiratoires de différentes tailles qui contribuent à la transmission.

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Vous ne voulez-pas participer à sa reproduction, n’est-ce pas ?