Le grand-père nazi de la vice du canada Chrystia Freeland

À quelque chose malaise est bon

L'histoire qu'on cache mais que par hasard on découvre. 

L'invitation d'un vieux soldat canadien-ukrainien par le président Rota de la chambre des communes du parle-ment  fédéral à ottawa  aura finalement fait ressortir quelques chose de bon, c'est-à-dire faire connaître l'histoire des nazis réfugiés au canada mais qu'on enseigne surtout pas dans nos manuels d'Histoire.

Ce que les médias d'aujourdhui ne parlent pas, du moins pas encore.
Chrystia Freeland, ci-devant vice-première ministre du régime libéral avec nos taxes et impôts Justin Trudeau, avait nié plusieurs fois le nazisme de son grand-père maternel. "De la propagande russe", disaient-ont. Si bien que des chercheurs ont faits des recherches et vous savez quoi ? Ils ont trouvé !

Le journal Ottawa Citizen du 8 mai 2017 rapporte que le Globe and Mail de Toronto a écrit que "la Ministre des Affaires Étranges, Chrystia Freeland savait depuis au moins deux décennies que son grand-père maternel ukrainien avait été l'éditeur en chef d'un journal nazi de l'Ukraine."

https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/chrystia-freelands-granddad-was-indeed-a-nazi-collaborator-so-much-for-russian-disinformation

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