«Le trou est-tu réparé aujourd'hui?» Janvier Grondin, député adéquiste et caquiste
«Le trou est-tu réparé aujourd'hui?» Janvier Grondin, député adéquiste et caquiste.
En 2006, Janvier Grondin s'inquiétait beaucoup de la couche d'ozone. D'où cette phrase célèbre : «Le trou est-tu réparé aujourd'hui?»
L'image de la formation adéquiste en a prit pour son rhume après cette déclaration de Janvier Grondin. Source Michel David Le Devoir
Une bande d'incultes les adéquistes ? Voyons voir !
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Faire diversion en ternissant l'image des autres
Pour faire le sale boulot afin de faire diversion, rien de trop beau pour cette nouvelle classe ouvrière dans le but de ternir Mme Marois et les partisans du Parti Québécois. Il s'agit de Pierre Morin qui entra en fonction en 2003-2004 sous l'adq et continua avec la caq à Legault lorsque l'adq fusionna avec la caq à Legault en 2012.
Pierre Morin est-il toujours payé par la caq ou par le gouvernement caquiste ?
Je ne le sais pas. Mais sur Twitter il se dit un fier partisan de la caq et champion des retweets des actions du gouvernement.
La caq travaille à se refaire une beauté, graduellement
En 2012, la caq à Legault était en déficit d'amour auprès des femmes.
Sur le site Internet du Journal, on peut par exemple lire ceci :
François Legault est conscient qu’il devra faire un effort particulier pour séduire l’électorat féminin. «Je vais essayer d’examiner ce que je peux faire pour plaire davantage aux femmes», a-t-il d’abord lancé à la rigolade.
Plus sérieusement, il explique la faiblesse de son parti à cet égard par la peur du changement qui entraînera inévitablement une période d’incertitude. Ses appuis atteignent seulement 20% chez les femmes. Deux fois plus de femmes (40%) voteraient pour le PQ contre 27% pour le PLQ.
Aux élections de 2018, on sait que François Legault a nommé ou choisit lui-même les futures candidates pour la caq.
La parité avant la qualité
Pour aller piger dans un électorat féminin revendicateur, Legault avait nommé lui-même les candidats et les candidates caquistes aux élections de 2018. C'est de cette façon que les Marguerite Blais, Danielle McCann, Marie-Chantal Chassé, Sylvie D'Amours et plusieurs autres ont profités de la vague anti libérale pour se faire élire ou réélire.
Plusieurs candidates de la parité n'avaient pas l'étoffe pour diriger un ministère; plusieurs ont été rétrogradés ou forcées de démissionner.
Sylvie D'amours, ministre aux affaires autochtones est la dernière en liste; elle sera remplacée par Ian Lafrenière, un ex policier.
https://chialeuses.blogspot.com/2020/10/les-femmes-de-la-caq-legault.htmlMais, mais, mais, le gouvernement Legault a quand même et malgré tout tombé sous la houlette des gestapounes mieux connues aussi sous le qualificatif "Germaine" .... elles gèrent et elles mènent ce pauvre gouvernement Legault par le bout du nez.
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