Canada, matriarcat, vodka, babouchka
En votant des lois féministes à partir de l'année 1921, le régime communiste a réussi à détruire la société russe en moins de 50 ans.
La dislocation des familles n'a pas tardée et les pères russes sous la gouverne des matriarches et des babouchkas se sont tournés vers la vodka pour noyer leur mélancolie.
Ce n'est que tout récemment, sous la direction de Poutine, que le gouvernement russe a voter des lois pour redonner un peu d'espoir aux hommes.
Dictature de l'émotion et du matriarcat
Le matriarcat est déjà au pouvoir depuis nombres d'années au Canada. Les familles de plus en plus disloquées. Divorces, avortements, suicides, agressions de toutes sortes sont quotidiens.
Commentaires
Les positions de certaines féministres jusqu'au-boutistes m'apparaissent cependant discutables. Dire que les hommes ont un potentiel de violence est vrai mais occulte le fait que les femmes en sont capables aussi, ne serait-ce que pour protéger ce qu'elles aiment (elles-mêmes, leurs enfants, leurs biens ou maison, etc.). Certaines femmes semblent penser que les hommes sont superflux et que le lesbianisme est une solution de rechange comme une autre. C'est leur choix, mais il implique nécessairement un refus de retransmettre ce qu'elles ont reçu, la vie. Le film Thelma et Louise est une vigoureuse dénonciation de ce qui est moche chez les hommes en général, mais sa finale me surprend. La seule solution à l'injustice faite aux femmes est-elle de s'enlever la vie? Encore une fois, si le féminisme aboutissait à l'absence d'enfants et la disparition volontaire des femmes, ce serait une étrange idéologie, une tournure d'esprit détestable, car s'interposant à la continuité de l'existence de l'espèce. À mes yeux, les femmes représentent la vie elle-même, elles représentent ce qu'il y a de mieux et de plus noble dans la nature humaine, la moitié rédemptrice et reproductrice du couple homme/femme formant le noyau de base de l'humanité.
Les divorces divisent et déstabilisent. La majorité des crimes dits familiaux ont comme source la garde de l'enfant confiée encore et majoritairement à la mère.
Le féminisme tue : Les avortements à raison d'environ 25 000 par année, divisent et déstabilisent. Pour les remplacer, le Québec doit les remplacer par autant d'immigrants qui vont jurer fidélité et prêter serment à la Reine du Canada, à ses pompes et à ses œuvres.
Du côté des instances du PQ souvenons-nous de la crise des Yvettes déclenché par la très féministe et misandre Lise Payette née Ouimet.
Du côté de QS cette phrase célèbre prononcé par Amir Khadir : « Dans notre perspective, c'est l'indépendance si nécessaire, mais pas nécessairement »
Voilà quelques exemples des conséquences sur la société québécoise par des lois féministes à la Trudeau.