Pot-pourri : DPJ, Audrey Gagnon, Trudeau, Legault, Covid-19
Audrey Gagnon avait peur de se faire enlever la garde de sa fille.
Combien d'hommes ont tué leurs enfants pour les mêmes raisons. Est-ce que les féministes des calacs et du gouvernement vont s'y mettre pour leurs trouver des excuses aussi ?
On dirait qu'on lui cherche des excuses pour avoir tuée sa fille !
À l'enquête du Coroner : tous rejette le blâme sur les autres. Sur la DPJ, sur la maison Marie-Rolet, sur son enfance difficile, sur les familles d'accueil, sur la drogue, etc etc.
Manon Monastesse des calacs a été jusqu'à dire lors de reportage télévisé que les maisons d'hébergements ne sont pas là pour contrôler les femmes.
Manon Monastesse a-t-elle lu ?
Mémoire présenté par Réseau Masculinités et Société en collaboration avec le Regroupement provincial en santé et bien-être des hommes dans le cadre de la Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse. 12 décembre 2019
Extraits :
En complément, ajoutons qu’un sondage
réalisé en 2014 auprès de 2 084 hommes québécois révélait les degrés d’accord suivants
pour ces énoncés : « Je n’aime pas me sentir contrôlé par les autres » (92,4 %); « Quand j’ai un
problème, j’essaie de le résoudre tout seul » (84,6 %); « J’aime mieux régler mes problèmes
par moi-même » (74,9 %); « Ça va se régler avec le temps » (68,4 %); « Mes problèmes, je
préfère les garder pour moi » (67,8 %); « Quand je suis triste ou préoccupé et que quelqu’un
essaie de m’aider, ça m’agace » (45,4 %); « Quand je suis obligé de demander de l’aide, ma
fierté en prend un coup » (35,1 %); « Je me sentirais faible de demander de l’aide » (25,4 %)
(Tremblay et al., 2015).
Il y a ici une première collision frontale entre les hommes et la DPJ
comme institution : les hommes, très majoritairement, n’aime pas être contrôlés par d’autres
alors que la DPJ est une institution de contrôle social de par sa loi constituante.
(...)
a) L’opposition entre le contrôle social de la DPJ et la quête d’autonomie des
hommes.
C’est peut-être la dimension la plus évidente d’une collision culturelle annoncée entre
les hommes et la DPJ. C’est ainsi que, dans le cadre de l’expérience d’accompagnement
professionnel, il a été observé qu’un sentiment d’injustice et de ne pas être écoutés, étaient,
au point de départ, des obstacles chez les hommes rencontrés, tout particulièrement sur
le plan des relations entre les pères et la DPJ.
Également, avec des intervenants de la DPJ,
la méfiance et la frustration de sentir que leur vie privée était « contrôlée » ont été des
attitudes rencontrées régulièrement chez les hommes participants. Aussi, la perception que
leur expérience comptait pour peu dans les plans de services, les décisions à prendre et les
méthodes éducatives parentales utilisées, donc une absence d’autonomie ressentie dans
leur rôle de père et le sentiment d’une non-reconnaissance de la valeur de la parole et du
point de vue de l’homme.
Enfin, le pouvoir de l’institution, tel que compris par les hommes
en matière de protection de la jeunesse, pouvait avoir pour effet chez eux de créer une sorte
d’inhibition dans l’expression de leur vision des choses et de leurs besoins. C’est ce que des
hommes nous ont rapporté le plus souvent.
Vaccin
Est-ce qu'un journaliste pourrait questionner Trudeau sur le montant versé pour l'acquisition des premières doses de vaccins. Le Canada est subitement devenu le deuxième sur la liste alors qu'il était un des derniers.
Legault et les assurances autochtones, y connaît rien.
Legault ignore que les assurances sont toutes basées sur les risques. Plus un endroit est dangereux (quartier avec beaucoup de sinistres) plus la prime sera élevée et certaines compagnies d'assurances pourraient refuser d'assurer. En assurance automobile sont considérés l'âge, le genre (homme, femme ) célibataire ou marié, le type de véhicule, l'expérience, l'usage, la région, Montréal, Québec, Abitibi, rural etc.
Covid-19
Mortalités au Québec, ne pas comparer avec le reste du Canada avant enquête générale.
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