Complot SCRS, Globe and Mail, CIA ?

Le mot "complot" devrait être réservé aux complotistes; veuillez-donc en prendre note, car il est impossible que nos Services de renseignements et d'espionnages tels la CIA, le SCRS et un journal d'affaires comme le Globe and Mail de Toronto, puissent comploter.

Les Clinton, pas eux aussi ?

On se rappelle que c’est Hillary Clinton, dont la nomination fut accueillie positivement par Moscou, qui fut à l’initiative de la politique dite de « reset » inaugurée après la crise géorgienne de 2008, destinée à rapprocher les deux grands pouvoirs, notamment sur le plan économique.

Uranium… et coopération fructueuse

On sait moins que le secteur hautement stratégique de l’uranium fit l’objet d’une coopération particulièrement fructueuse entre le complexe militaro-industriel russe et de grandes entreprises américaines — plus précisément, celles qui abondent la puissante Fondation Clinton, qui fut la troisième grande bénéficiaire du « reset ». 

Moscou poursuivait une politique de sécurité visant « non seulement à construire des centrales nucléaires dans le monde entier, mais aussi à s’assurer le contrôle d’une large part de la production mondiale d’uranium », écrit Peter Schweizer dans son best-seller « Clinton Cash ». 

L’entreprise d’Etat russe « ROSATOM », fer de lance de cette stratégie, aura pour partenaires « une série d’investisseurs étrangers qui avaient versé d’énormes sommes à la Fondation Clinton et finançaient les conférences fort lucratives que donnait Bill. Les décisions prises par Hillary au poste de secrétaire d’État leur ont assuré des gains colossaux ». 

En 2009, sous l’égide de l’énergique Sergeï Kirienko (un éphémère Premier ministre de Boris Eltsine, fort apprécié en son temps par l’administration Clinton), « ROSATOM » achète 17 % d’« Uranium One », une grande entreprise canadienne qui opère sur le marché américain. À la fin de la même année, le directeur de « ROSATOM » fait valider par Vladimir Poutine un plan visant à acquérir des mines d’uranium à l’étranger. Fondation Clinton, qui sont les donateurs ?

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2016

L'affaire du Russiagate est une affaire judiciaire et politique américaine aux multiples ramifications qui commence en septembre 2016. Elle se produit dans le cadre de soupçons de collusion entre la Russie et des membres de la campagne présidentielle de 2016 de Donald Trump, ainsi que d'interférence du président dans le déroulement de l’enquête. 
En 2019, le procureur spécial Robert Mueller fait état d’une ingérence russe dans l'élection présidentielle américaine de 2016 mais indique que son enquête n’a pas recueilli de preuves suffisantes pour établir une « collusion » entre la Russie et l'équipe de Donald Trump.  Le Russiagate 2016

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2017 : Reuters
Publié le 8 avril 2017
Donald Trump a pressé vendredi le président chinois Xi Jinping de faire davantage pour contenir le programme nucléaire nord-coréen et de réduire le déficit commercial entre les États-Unis et la Chine, tout en adoucissant le ton de ses discours de campagne.

Le président américain a affirmé avoir eu des entretiens constructifs avec son homologue chinois lors du premier sommet entre les deux hommes dans sa résidence de Mar-a-Lago, en Floride

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1027019/programme-nuclaire-nord-coree-xi-jinping-president-etats-unis

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Trump et ses partenaires doit des dizaines de millions à la Chine

En 2012, le milliardaire et l'un de ses partenaires ont emprunté à la Banque de Chine (propriété de l’État) une somme de 211 millions de dollars pour revoir le financement de la propriété évaluée à plus d’un milliard de dollars. Il s’agissait du premier prêt de cette nature aux États-Unis pour la Banque de Chine. L’échéance de ce prêt? Elle approche rapidement, 2022, et vous vous doutez qu’on ne ratera pas l’occasion de relever la proximité avec l’échéance électorale.  

Ce n’est pas la première fois qu’on souligne que l’accession à la présidence d’un homme d’affaires soulève un certain nombre de questions d’éthique. Le président ne s’est jamais officiellement distancié de ses compagnies et plusieurs membres de son entourage qui le conseillent à la Maison-Blanche sont impliqués dans la gestion de ces compagnies.  

Il sera intéressant de voir si le fait d’être endetté auprès de la banque d’un pays avec lequel il négocie au nom des États-Unis influence la stratégie de Donald Trump face à son rival démocrate. Si plusieurs observateurs perçoivent bien le potentiel conflit d’intérêts, d’autres ne s’embarrasseront pas de ce qu’ils considèrent comme des «nuances».  

À cette situation déjà complexe, on peut ajouter au moins un autre élément qui risque d’accentuer le «suspense». La Banque de Chine a joué un rôle dans l’attribution d’un prêt d’un milliard et demi de dollars à des partenaires d’affaires de Hunter Biden, le fils de Joe.   

https://www.journaldequebec.com/2020/04/24/donald-trump-doit-des-dizaines-de-millions-a-la-banque-de-chine

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L'ennemi commun des démocrates et des républicains : la Chine ; leurs idiots utiles : les politiciens et les médias canadiens !

Il ne se passe pas une journée sans que le SCRS qui reçoit des informations (espionnage) des États-Unis, pays qui espionne tout le monde, même ses amis, pisse dans l'oreille du Globe and Mail de Toronto. Le Globe and Mail de Toronto est ce journal d'affaires qui aimerait bien acceuillir  en Ontario toutes les industries américaines installées ou qui importent de la Chine, même si pour cela serait de faire payer très chers leurs produits fabriqués au Canada.

Tout cela me semble être un vaste complot (voir l'avertissement au début de mon article) pour faire mal paraître la Chine et même faire chier dans ses pantalons l'innocent fils de son père Pierre Eliot Trudeau, le Justin Trudeau pm canadien aux ordres.

Pourquoi cette guerre commerciale sous couvert d'ingérence étrangère ?

C'est que ni Trump ni Biden ont réussi à faire plier la Chine.

Le Make America Great Again de Trump avait pour but de relocaliser aux États-Unis les industries importatrices américaines qui pour des raisons évidentes de coûts --qui sont beaucoup moins dispendieux en Chine--, n'avait pas fonctionné comme Trump le voulait et c'est pourquoi pour ce venger, Trump ne s'est pas gêné pour retourner sa veste et mordre la main de la Chine qui l'avait si bien nourrit. Quant à Biden, le catholique pro-avortement, c'est le Trump du parti démocrate mais en plus hypocrite.

Maintenant que la pandémie est terminée et pour la paix et le salut du monde, l'unique condition serait de partager avec tous les pays notre savoir pour le bien-être de tous. Ne vaut-il pas mieux partager et montrer à pêcher que de bombarder ?

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