La propagande LGBT : elle se suicide à l'âge de seulement 10 ans

La propagande LGBTQI2+  tue.
La propagande LGBT est rendue tellement toxique que même une fillette de 10 ans s'est suicidée car elle ne se sentait "ni fille ni garçon".
Comment se fait-il que cette fillette de 10 ans savait comment se suicider et où avait-elle apprise qu'elle pouvait être "ni fille ni garçon" ? Il y avait sûrement quelque part des personnes qui lui ont fait croire ce genre de chose comme par exemple avoir entendue des histoires racontées par des drag-queen  dans les écoles, n'est-ce-pas?
Il faut dénoncer plus que jamais les dérives du féminisme misandre toxique et les ravages causés par la propagande chez les enfants par des drag-queen ou par toutes personnes faisant la promotion des LGBT et ses dérivés. 

Elle s’enlève la vie à seulement 10 ans car elle était «tannée de faire semblant d’être heureuse»

La maman réagit au rapport du coroner sur la mort de sa fille qui subissait de l'intimidation ....

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HUGO DUCHAINE
Jeudi, 18 mai 2023 00:00 MISE À JOUR Jeudi, 18 mai 2023 00:00

À seulement 10 ans, la petite Annsofy Bastien vivait une si grande détresse qu’elle a choisi de mettre fin à ses jours.

«Rien, rien, rien ne laissait présager un tel geste», souffle sa mère, Annick Dinelle.

• À lire aussi: Plus de 200 jeunes ont commis l'irréparable depuis le début de la pandémie

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Alex, pas Annsofy

Vivant une puberté précoce, la fille de Mme Dinelle n’acceptait pas les changements qu’elle observait sur son corps.
À quelques semaines de son décès, elle avait demandé à se faire désormais appeler Alex. «Mais c’était ni garçon ni fille», dit-elle.
L’enfant cherchait aussi à cacher ses seins, par exemple. Et elle portait des vêtements longs, cachant ses marques d’automutilation.

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Dans un autre article intitulé Plus de 200 jeunes ont commis l'irréparable
D’ailleurs, le taux d’hospitalisation pour tentative de suicide a plus que doublé chez les adolescentes de 10 à 14 ans entre 2008 et 2019, montre un rapport de 2022 de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ).
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Dans plusieurs rapports, on peut lire que le patient s’est suicidé dans les heures ou les jours suivant un congé de l’hôpital en psychiatrie. 
D’autres avaient vu leur psychologue ou médecin de famille peu de temps avant le passage à l’acte. « Lors d’un suivi [...], jugeant que M. ne va pas bien, sa psychologue tente de contacter son médecin de famille. 
N’y parvenant pas, elle suggère à l’entourage de faire un suivi urgent avec le médecin. Quelques jours plus tard, elle apprend le décès de celui-ci », a écrit un coroner après un décès.
Selon l'article; le taux de suicide chez les hommes est trois fois plus élevé que chez les femmes.




Commentaires

Anonyme a dit…
Il faut se demander à quoi on servit les psychologues losqu'on lit que M. X avait consulté juste avant qu'il se suicide.

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